Monday, November 26, 2007

Europeans must realize that Islam is not just another religion in their multi cultural religious rainbow

(...) Europe would be committing a grave mistake if instead of fighting against Islam, she tries to appease the Islamists. Islam must be confronted forcefully and rejected completely. It is nothing but insanity to recognize a doctrine that calls you impure, idolater and even pig and orders its follower to slay you as a legitimate religion. Recognizing Islam is accepting your own death warrant. Muhammad said kill the unbelievers. You are an unbeliever. If you recognize Islam, you are agreeing to be killed. Isn't that stupid?

Muslims in Europe have gained too much power. The more Muslims become powerful the weaker Europe becomes. Europeans must realize that Islam is not just another religion in their multi cultural religious rainbow but rather is their enemy. Islam aims to destroy their culture, their democracy and take away their freedom. They must realize that Muslims are not going to integrate in their countries but rather want to swallow them. If the Europeans do not wake up soon and do not start deporting the Islamists en masse and denouncing Islam as their enemy, they will be annihilated sooner than they can think.

More abhorrent than war is making peace with evil. In the words of the 18th Century British parliamentarian Edmund Burke, "All that is necessary for evil to triumph is for good men to do nothing." Those who advocate peace with Islam are fools of this century. If we do not stand against Islam it will grow and then billions will die. Trying to appease Muslims is foolish. It is informed by ignorance of Islam. Most cancers are treatable, if detected in time. But if you ignore them because you think fighting them is daunting, they will grow to a stage that will kill you. Today we have the choice. We can either fight Islam and extirpate it before it threatens our existence or wait and face the apocalypses.

The threat of Islam today, is much greater than the threat of Nazism during the 1930s. Failure to address this threat will result in a war more devastating than the Second World War. Those who advocate peace do not want peace. They are either the enemy itself that wants you to remain peaceful so he can kill you easily or the useful idiots who have no understanding of the danger the world is facing and have fallen into the trap of the enemy, dancing to the beat of their drums.

(...)

Let us remove these masks of deception. Those who advocate “peace” and demand more appeasements and concessions for Muslims are not really working for peace. They are either the enemy itself, or the “useful idiots” working for the enemy.

"Useful idiot" was a sobriquet that the the Chinese Premier Chou En Lai had given to the Indian Prime Minister Jawaharlal Nehru for his blind appeasing the communists and for in 1955 turning down the offer of permanent membership in the United Nations Security Council for India and arguing that the Communist China should get the seat instead. "The first step to be taken is for China to take her rightful place, and then the question of India might be discussed separately," India's then prime minister Jawaharlal Nehru wrote in a letter to the country's top political leaders – explaining why he supported Beijing. He said "Hindi Chini bhai bhai", Indians and Chinese are brothers. But all these did not stop China from invading India in 1962. Appeasement never works

Today the leftists are the “useful idiots” for appeasing the Islamists, just as Neville Chamberlain was the useful idiot for appeasing the Nazis.

Actually the term "Useful Idiot" is believed to be coined by Vladimir Lenin to describe those gullible western reporters who would endorse the Soviets who in just three months had tortured and executed more dissenters than the czars had done in 92 years from 1825-1917. Later on these "useful idiots" would continue praising communism, its policies and its "achievements" during the Cold War. They became apologists for the excesses of the Soviets and did their best to deflect any criticism of this brutal regime.

Today, most of the Western politicians and the mainstream media are vying for that dubious distinction to be the useful idiots for Islam. They volunteer to defend Islam, become its unpaid apologists and say Islam does not preach peace, every time there is a news about terrorism.

The question is; whether the Europeans also want the title.

Source: The Useful Idiots (Faithfreedom.org)

Saturday, November 24, 2007

La bataille de Montgisard, Jérusalem - le 25 novembre 1177

La bataille de Montgisard (du mont Gisard) est probablement l’une des plus belles victoires des armées chrétiennes, principalement franque donc principalement venant de France.
Une grande partie des armées franques sont en Syrie. Saladin veut profiter de ce moment pour fondre sur Jérusalem. Saladin se dirigea d’abord sur Gaza mais les templiers prévenus de l’arrivée de Saladin ont fortifié à la hâte le château. Saladin préféra donc contourner pour aller à la ville d'Alascon. Baudouin IV avec ses chevaliers fondit vers la ville pour la défendre. Saladin encore une fois préféra rebrousser chemin et se diriger directement vers Jérusalem.
Cependant il préféra éparpiller une partie de son armée pour permettre le pillage et également de harceler par vagues d’attaques les positons chrétiens. Saladin ne pensait pas que Baudouin IV était un danger avec autant peu d’homme ce qui fut une erreur comme nous pourrons le voir plus tard. Saladin prit sur le chemin la ville de Ramala et assiégea la ville de Lydda et Arsuf. Baudouin IV comprit qu’il avait à une carte à jouer et réunit le plus de chevaliers possibles disponibles, estimés à 300 - 400 chevaliers, de 80 templiers et d’une petite centaine de fantassins.
Le lieu ou les forces franques de Baudouin IV et celle de Saladin se rejoignirent, fut sur le Montgisard à l’ouest de Jérusalem à Tell al-Safiya. Malgré qu’une partie de l’armée de Saladin était décomposée, les chevaliers se retrouvèrent à 1 contre 20. Baudouin était accompagné par le tumultueux Renaud de Châtillon, seigneur de Kerak, de Balian d’Ibelin et ‘surtout’ des reliques de la Sainte Croix, malgré les réticences des religieux. Les reliques avait également un effet dévastateur auprès des ennemis arabes, puisque utilisés dans de nombreuses victoires apportait un effet psychologique non négligeable, surtout que la croix qui représentait les reliques était visible de très loin.
L’armée dirigée par Saladin, déjà battu par Baudouin IV en 1176, est composée d’environ 30 000* éléments guerriers. Il faut cependant relativiser la grande majorité des armées Sarrazins étaient en général peu entraînées et pas très disciplinées. Ce qui n’enlève rien à la charge héroïque de l’armée franque d’autant plus que la faiblesse tactique des armées arabes était compensée par une armée largement plus nombreuse en nombre. On peut faire un rapprochement inverse avec la bataille de Thermopyles, qui malgré la bravoure de Léonidas et de 300 hoplites spartiates, ont succombé dans la totalité aux milliers de Perses. Le nombre est souvent un facteur de réussite guerrière surtout avec un effet psychologique dévastateur.
C’est donc « comme une mer » que l’armée arabe se présente contre les forces de Baudouin IV. À ce moment-là Saladin est totalement abasourdi ! il ne s’attendait pas du tout à voir Baudouin IV, c’est donc une attaque surprise et considérée comme suicidaire.
Il faut imaginer une marée humaine qui pour l’époque était déjà très impressionnante. Michel le Syrien dit : « Quand le Dieu qui fait paraître sa force dans les faibles, inspira le roi infirme... Il descendit de sa monture, se prosterna la face contre terre devant la Croix (saintes reliques) et pria avec des larmes. À cette vue le cœur de tous ses soldats fut ému. Ils étendirent tous la main sur la croix et jurèrent de ne jamais fuir et, en cas de défaite, de regarder comme traître et apostat quiconque fuirait au lieu de mourir ». Les saintes reliques étaient souvent emportées pendant les combats. On peut remarquer par ailleurs la similitude avec l’état d’esprit de l’époque des chevaliers français avec le goût du challenge et du sacrifice qui fera merveille plus tard Bouvines. On peut imaginer l’émotion face à une telle armée, surtout en étant aussi peu nombreux.
A la surprise générale, Les chevaliers francs fondirent courageusement sur les hommes de Saladin et comme dans du beurre éventrèrent l’armée arabe. Ce fut un réel carnage, l’armée de Saladin est complètement submergée par 400 chevaliers. Plusieurs officiers musulmans furent tués, mais surtout Saladin failli mourir.
Protégé par sa garde rapprochée de mameluk d’environ 1000 hommes, les chevaliers vont à nouveau fondre comme une masse, au point de se rapprocher dangereusement de Saladin. Il est à deux doigts de se faire tuer, mais réussit à la faveur d’une nuit tombante à s’enfuir dans le désert. L’armée de Saladin est presque anéantie et les rares survivants éparpillés dans le désert.
La victoire fut écrasante et pesa lourd dans l’esprit de Saladin et de son armée. Les forces franques, on pourrait presque dire française, était globalement déjà très redoutée et cette victoire à 1 contre 20 était de nature à mystifier et faire peur à une majorité de soldats arabes. Saladin semble t-il avait un respect de Baudouin IV et préférait dans certains cas ne pas pouvoir se battre, ce qui à donné à Saladin le terme « Saladin le sage ». Il fut plus sage par rapport au fait qu’il économisait son armée et des massacres inutiles que par sa générosité.
Cette victoire éclatante d’un roi diminué par la lèpre (maladie terrible pour l’époque, car atroce et profondément mutilante) fit de Baudouin IV un roi légendaire, qui préférait mourir malade au combat que dans un lit à attendre sagement la fin comme lui conseillait par ailleurs hardiment la majorité de sa cour. Elle permit par ailleurs de contracter un accord entre Saladin et Baudouin IV, permettant pendant environ quatre ans une relative paix.

Ps: La bataille des chiffres est aussi difficile à trancher. Certains disent qu’ils étaient ‘que’ 7000 -8000 d’autres plutôt 20 000 et puis d’autres proches de 30 000. Le rationnel voudrait que qu’ils ne soit ‘que 7000 -8000 ‘ mais cela ne veut pas dire que c’est vrai. Les armées ‘professionnelles’ de Saladin étaient surtout composé de mameluck et de cavalier mais qui étaient très loin de représenter la majorité de son armée. La grande majorité était composé de guerriers pris sur le tars, souvent inexpérimenté et à pieds, face à des chevaliers ils n’avaient donc très peu de chance de survivre. De plus l’armée de Saladin à été mainte fois très largement en surnombre face aux armées francs, ce qui ne préjugeaient pas du tout des victoires. La victoire de Hattin par Saladin est lié plus à une imbécilité tactique des armées francs qu’une réelle suprématie militaire.

Posted avril 23rd, 2007 by montjoye

The Crusades - Images from the Salles des Croisades at Versailles (1839-1842)

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Friday, November 23, 2007

St. Francis of Assisi and the Conversion of the Muslims

St. Francis of Assisi accompanied the Crusaders to Egypt on the Fifth Crusade, and boldly walked right into the Muslim camp in a spectacular attempt to preach Christianity to the Sultan and his followers. The author shows that St. Francis was a supporter of the armed Crusade, and his goal was the conversion of the Muslims, rather than simply "dialoging" as an end in itself, as some revisionists have purported. He made such an impact with his preaching, that the sultan rebuffed some of his own religious advisors, the imams, who were insisting that Islamic law required that St. Francis must be beheaded.
While the book focuses on this historic encounter, it also includes a comprehensive biography of the Saint, taking the reader through the essential aspects of his life and his life-changing spiritual journey. Read how St. Clare of Assisi left her comfortable aristocratic world to become his follower, how St. Francis originated the Christmas manger, and about the dramatic moment he received the stigmata.
"The most important book on St. Francis in English, in recent years."
—Brother Alexis Bugnolo, Editor, the Franciscan Archive, franciscan- archive.org
"This is a rare and daring approach to the life of St. Francis and one that is so necessary in our world at this time."
—From the Preface by Father Angelus M. Shaughnessy, O.F.M. Capuchin, EWTN TV Spokesman

TAN Books Frank M. Rega No. 2193 ISBN: 978-0-89555-858-9 16.50 210 Pp. PB.

Friday, November 16, 2007

Hagia Sophia, the Church of Divine Wisdom

Hagia Sophia had been built during the reign of the Emperor Justinian between the years 532-537 AD and was the largest church in the world. Procopius, an eyewitness to the imposing beauty of this Church of "Divine Wisdom" wrote in his book, De Aedificiis:

The inside is too magnificent to appear commonplace, too tasteful to be thought flamboyant. The brilliance and sparkle of sunlight fills it. You could almost say that it was not lit from outside by the sun, but that it generated its own light so full of light in this holy place. From the round arch rises a tremendous spherical cupola of unique beauty. It scarcely seems to rest on its solid substructure, but rather to be a golden bowl hanging free above the interior. Up there in its heights everything merges in the most incredible harmony. One thing depends on another, yet takes support only from what is immediately beneath it. Each detail guides the eye further and so over the whole. Entering the church to pray, your soul is thus conducted on high. You ascend into heaven. You feel that God is not far away and wish to linger in a place that He Himself has chosen.

The structure was so magnificent that the Ottoman Turks could not bring themselves to destroy it when they conquered Constantinople in 1453. Instead, they converted it into a mosque, replaced the cross with a crescent and added four minarets during the 15th and 16th centuries. The mosaics and frescoes that adorned the walls were whitewashed during the 16th century. The building was finally converted into a museum on Frebruary 6, 1935.

From: "Tumultuous Times - The Twenty General Councils of the Catholic Church and Vatican II and its Aftermath" by Fr. Francisco Radecki, CMRI, Fr. Dominic Radecki, CMRI

Tuesday, November 13, 2007

L’Islam n’a pas deux visages (Anne-Marie Delcambre)

Le musulman doit-il, dans certains cas, battre ses femmes, interdire qu’elles épousent des infidèles, se séparer d’elles en les répudiant, condamner la consommation du vin et les jeux de hasard, haïr les juifs, s’efforcer par tous les moyens d’imposer sa religion, tuer les infidèles, de la même façon qu’il doit être modeste, patient humble, juste, honnête, charitable, respectueux, dévoué à ses parents? On est tenté de répondre par l’affirmative, toute innovation étant blâmable, une hérésie.
Jean-Paul Roux

Au moment où de toutes parts redouble la désinformation, importante remise des pendules à l’heure d’Anne-Marie Delcambre, sur LibertyVox en juin dernier, concernant la distinction mensongère “islamisme”/islam.
De fait, comme le sait tout musulman conséquent, il ne saurait y avoir qu’un seul islam comme il n’y a qu’un seul Coran et un seul Mohammed, tout le reste n’étant que littérature ou… dissimulation.
Même la “paix” tant vantée avec les “religions du livre” ne peut être que tactique en attendant une ultime pacification ou au mieux l’imposition d’un statut inférieur.
Sans compter que les versets les plus durs “abrogent les versets plus doux” et qu’en fait ces derniers ne s’adressent qu’aux croyants et donc aux seuls musulmans.

Extraits:
Dire que l’islamisme n’est pas l’islam, qu’il n’a rien à voir avec l’islam, est faux. Pour le musulman d’hier et d’aujourd’hui il n’y a qu’un seul Coran comme il n’y a qu’un seul prophète. L’islamiste est autant musulman que le mystique car il s’appuie sur ces deux fondements. Et dans ces deux fondements il y a l’appel au combat. Ici-bas la guerre pour la victoire de l’islam doit être poursuivie tant que l’islam n’est pas entièrement victorieux. La paix n’est envisageable que si la victoire paraît, pour le moment, impossible ou douteuse (sourate 47, verset 35/37). Mais la paix sera plutôt une récompense du paradis, quand toute la terre aura été pacifiée. Comment passer sous silence que pour les musulmans le monde se partage entre le territoire de l’islam (dâr al-Islam) et le territoire non musulman, qualifié de territoire de la guerre (dâr al-harb)
Entre l’islam et l’islamisme, il n’y a pas de différence de nature mais de degré. L’islamisme est présent dans l’islam comme le poussin l’est dans l’oeuf. Il n’y a pas de bon ou mauvais islam, pas plus qu’il n’y a d’islam modéré. En revanche il y a des musulmans modérés, ceux qui n’appliquent que partiellement l’islam.
Pour accepter l’islam, l’Europe a forgé le mythe de l’Andalousie tolérante qui aurait constitué un âge d’or pour les trois religions. Tout ce qui concerne les combats, le statut humiliant du non musulman a été soigneusement gommé. Il s’agit d’une véritable falsification de l’histoire réelle.
En réalité on ne nous dit jamais que les textes grecs ont été traduits par des Chrétiens d’Orient, à partir du syriaque ou directement du grec. (Ni Avicenne, ni Averroès ne connaissaient le grec!).
C’est plutôt curieux pour les Juifs d’Afrique du Nord qui idéalisent leur vécu en terre d’islam. Ils n’ont trouvé la liberté que sous administration française ou dans les pays occidentaux…
Là où l’islam est particulièrement dangereux, c’est qu’il englobe toute la vie du croyant, du berceau jusqu’à la tombe, dans tous les domaines et qu’il n’y a pas de séparation entre le public et le privé, pas plus qu’il n’y a de séparation entre le politique et le religieux. L’islam est total, global, il englobe la totalité car tout comportement obéit à une règle. Mais en même temps chaque règle est une règle de comportement religieux, que cette règle soit dans le domaine juridique, politique ou intime. C’est le religieux qui recouvre tout. Le système pleinement réalisé devrait s’appeler théocratie et jamais «démocratie». On nous ment quand on nous affirme que l’islam serait une foi qui se pratique dans la sphère privée, comme le christianisme. L’islam est à la fois une foi, une loi, un droit (fiqh), lequel est l’application de la Loi qu’est la charî’a. Et cette charî’a a prescrit de combattre l’infidèle (jihâd ou qitâl), de lui réserver un traitement inégalitair (dhimmî), d’appliquer aux musulmans des peines fixes (hudûd) pour des crimes bien définis (adultère (zinâ), apostasie (ridda), blasphème (tajdîf), vol (sariqah), brigandage (qat’ al-tarîq), meurtre (qatl) et bien sûr consommation d’alcool.
Pour expliquer les attentats, il suffit de se reporter à la vie du prophète, lequel a justifié l’assassinat politique pour le bien de l’islam. De même, faire peur, inspirer la terreur (rahbat) -dont on a tiré le mot moderne “terrorisme” (irhâb)- était la méthode que le noble modèle préconisait pour semer la panique chez les ennemis del’islam.
(more...)

El análisis que hizo sobre el Islam el escritor católico inglés Hillaire Belloc

Una reflexión sobre el Islam
Se debe recordar el análisis que hizo sobre el Islam el escritor católico inglés Hillaire Belloc, dice el cardenal

No juzgo atrevido pensar que la conversión al catolicismo, en 1845, de Newman "luego sacerdote y cardenal", tuvo, como gratificación providencial, la floración de una serie magnífica de pensadores y escritores católicos en la protestante Inglaterra. De un minucioso listado extraigo dos nombres fraternalmente unidos en la fe y en el amor y la defensa de la Iglesia Católica: G.K. Chesterton e Hillaire Belloc.
A Hillaire Belloc pocos lo recuerdan y menos son los que lo leen; y en verdad merece ser leído y releído. Belloc fue un escritor comprometido y fecundo. Con Chesterton, formaban un dúo polemista brillante. Salvo en el teatro, Belloc se movió en diversos géneros literarios: poesía, ensayos, viajes, historia y biografía. Sus textos sobre la Reforma son de imprescindible lectura para una visión acertada acerca del origen del protestantismo. Europa y la fe, La crisis de nuestra civilización y Las cruzadas; y las biografías de: Napoleón, Richelieu, Danton y Juana de Arco son títulos que enriquecen la bibliografía de Belloc. Las grandes herejías Allá por los años 30, Belloc publicó un texto, no voluminoso, sobre las grandes herejías. Las Grandes herejías, en el pensamiento y exposición de Belloc, son la herejía arriana, la grande y duradera herejía de Mahoma, el ataque albigense, la Reforma y la fase moderna. ¿Por qué este recuerdo de Belloc y su obra? Acudieron a mi memoria el libro y su autor cuando surge de su refugio parisino Khomeini como jefe religioso y político de Irán. Su fuerza se asienta en principios religiosos, por supuesto islámicos. Toma una actitud desafiante ante los Estados Unidos, guerrea contra los correligionarios iraquíes y condena a ser asesinado en cualquier lugar del mundo al autor de Versos satánicos. Luego supe que el islamismo es la segunda religión en la Francia de estos tiempos; que, sobre todo en ciertas zonas de Africa, su presencia es avasalladora. Todo el mundo sabe de la construcción de una monumental mezquita en Roma (­!) y en Buenos Aires, donde acaba de donar el gobierno de la Nación más de 3.200 metros cuadrados en Palermo para la construcción de una mezquita y centro cultural. Todo ello, pero sobre todo el extraño personaje de Saddam y la guerra del Golfo, me motivaron a releer las páginas de Belloc que recordaba vagamente. Allí, Belloc estudia el origen y la expansión formidable del mahometanismo en sus primeros cien años. Analiza sus causas y lo denomina "herejía", porque Mahoma venía del paganismo; "provenía "dice Belloc" de los degradados idólatras de la salvaje Arabia, cuya conquista nunca interesó a los romanos; y vivía entre ellos". Mahoma toma verdades de la doctrina católica y del judaísmo, tales como la existencia y unidad de Dios (Alá) y su omnipotencia, eternidad y poder creador; los castigos y premios después de la muerte. Indicaba la reverencia y veneración a Nuestra Señora, pero negaba la Encarnación y la divinidad de Cristo, por consiguiente la Trinidad y toda estructura sacramental: Eucaristía, sacerdocio, matrimonio... La simplicidad de la doctrina y sus reformas económico-sociales explican en parte la rápida difusión del islamismo.

Poder mahometano
Pero hay un punto en el trabajo de Belloc que fue lo que recordé frente a los hechos contemporáneos que he citado, punto que considero no una profecía, pero sí una especie de anticipación. Diversos hechos históricos fueron arrinconando y quitándole presencia al mundo islámico. "Estamos acostumbrados hoy "dice Belloc" a pensar en el mundo mahometano como algo pasado y estancado en lo material. Belloc se pregunta: "¿Acaso podrá resurgir el islam?... ¿No recuperará tal vez el poder temporal el islam y, con él, la amenaza de un mundo mahometano armado que se emancipe de los europeos "aun nominalmente cristianos" y aparecerá como el principal enemigo de nuestra civilización? Prosigue Belloc: "Ya que la religión se halla en las raíces de todos los movimientos y cambios políticos, ya que tenemos una religión (el islamismo) muy grande, físicamente paralizada pero viva en lo moral, nos hallamos en presencia de un equilibrio inestable que no puede permanecer eternamente inestable". Cualquiera que sea el motivo, el mahometanismo ha sobrevivido vigorosamente. El esfuerzo misionero no ha tenido efecto apreciable; puede preguntarse si no veremos en el futuro un resurgimiento del poder mahometano y la reanudación de la antigua presión del islam contra la cristiandad. Belloc escribe en 1936; yo le preguntaría si no es más adecuado hablar hoy de "occidente", no de cristiandad. Se le podría también objetar que el islam no produce armas. Pero, diría Belloc, ¿no hablan ustedes hoy del "comercio de armas"? ¿Acaso los armamentos de Irak e Irán son de sola fabricación islámica? No recuerdan, proseguiría Belloc, lo que aconteció en los principios de la década del 70 con el petróleo; ¿no conmovió la economía mundial? Si en lugar de escribir en 1936 escribiera hoy, no dejaría de referirse a esos puntos e interrogantes. "Nada hay "dice textualmente" inherente al mahometanismo que lo haga incapaz de la ciencia y de la guerra moderna. Dios quiera que todo quede reducido al ámbito de meras posibilidades provenientes, es verdad, de la mente penetrante de ese gran escritor católico inglés que fue Hillaire Belloc.


ANTONIO QUARRACINO
Arzobispo de Buenos Aires y primado de la Argentina

Fuente: Clarin Digital

Monday, November 12, 2007

Un santo no amigo del Islam

“Marco de Europa”, venerado por cristianos y odiado por musulmanes

Renzo Martinello, el joven director de cine, tiene ya en marcha una película para la televisión: “Sin él -dice- hoy las italianas, y no sólo ellas, irían con burka”. También está convencido de lo mismo Carlo Sgordon, que dedicó un hermoso libro al religioso, “Marco de Europa”. Y el mismo Pasolini, autor de una pieza teatral sobre las atrocidades de los turcos en Friuli, conocía muy bien a ese antiguo coterráneo suyo.
La devoción popular por él está viva no solamente en la región italiana del nordeste, sino también en Austria, en Hungría, en toda la ex Yugoslavia, donde su estatua preside muchas plazas. A esa veneración se contrapone la hostilidad de un fundamentalismo musulmán que no olvidó que el sueño de una Europa sometida a Alá se desmoronó el 12 de septiembre de 1683 ante las murallas de Viena, con el asalto impetuoso de una coalición cristiana compacta y enardecida, por las palabras ardorosas del Padre Marco.
Pío IX el Papa del Syllabus Son tres, sobre todo, las causas de beatificación “políticamente incorrectas” que Juan Pablo II se encontró sobre la mesa. Estaba, obviamente, la de Pío IX, el Papa del Syllabus, de Porta Pía y del “caso Mortara”. Sorteó las resistencias combinando la glorificación del “Papa malo” (ateniéndonos a la tenaz leyenda negra) a la del “Papa bueno” por definición. Un exorcismo que arrancó una sonrisa a los encargados de los trabajos: en efecto, sabían muy bien que la veneración de Juan XXIII por Pío IX era tal que Roncalli había previsto concluir el Concilio precisamente con la beatificación por aclamación de su predecesor decimonónico.

La Reina Isabel, defensora de los indios

En segundo lugar estaba, y está todavía, otra causa espinosa: la de Isabel de Castilla, la Reina Católica, a la que aborrecen los judíos a causa de la expulsión de los “marranos”, los musulmanes por la de los moriscos y los liberales de cualquier tipo por la Inquisición. Hace tiempo que se viene produciendo un enfrentamiento de “lobbies”: a los poderosos grupos contrarios a la gran soberana se contraponen sus devotos, reunidos en torno al arzobispo de Valladolid y a buena parte del episcopado sudamericano. De hecho, contrariamente también en este caso a los esquemas demagógicos, precisamente entre los indios está fuertemente arraigada desde siempre la devoción hacia la reina que financió el viaje de Colón y que inició la conquista. De todos modos, hasta ahora la causa isabelina no ha sido desbloqueada, y es previsible que ni siquiera la decisión y el coraje del Papa Wojtyla logren acabar en breve plazo con una aversión que une a fuerzas anticatólicas tan poderosas.

Venerable Marco de Aviano

En cambio llegó a puerto el largo viaje de Marco de Aviano. Cuando tenía 16 años, el futuro capuchino nacido en Friuli en 1631, huyó del seminario, contando que se iba a embarcar hacia Candia donde los venecianos resistían heroicamente el asedio turco. Lo hicieron volver atrás incluso antes de salir y después lo ordenaron sacerdote.
El Padre Marco se destacó como orador y, sobre todo, como taumaturgo: sus predicaciones, solicitadas ávidamente desde toda Europa, estaban marcadas por continuos prodigios. El mismo emperador Leopoldo de Habsburgo lo convirtió en uno de sus más escuchados consejeros.
El capuchino retornó en 1683 a Viena en circunstancias dramáticas: los turcos, que habían devastado todos los Balcanes y arrasado Hungría a sangre y fuego, habían llegado a asediar la capital imperial. Los 150.000 guerreros de Alá eran guiados por el despiadado Gran Visir Kara Mustafá, cuyo plan preveía la islamización de toda Europa Central. Francia, por su parte, como ya hiciera en Lepanto, traicionó a la Cristiandad: tratando de debilitar al emperador, el rey Sol había llegado a firmar pactos con los otomanos.
El ejército que debería haber liberado Viena del asedio no tenía más que 70.000 hombres, entre súbditos del Imperio, polacos guiados por el rey Juan Sobiesky, bávaros, sajones y voluntarios italianos que habían respondido a la llamada desesperada del Papa. Las tropas de la coalición no sólo eran escasas, sino que estaban paralizadas por las rivalidades entre los jefes.
La situación fue desbloqueada con prodigios de pasión y de persuasión, precisamente por el Padre Marco, enviado por el Papa, y cuyo prestigio eran inmenso no sólo entre los católicos, sino también entre las tropas protestantes.
Por indicación del capuchino, el rey de Polonia asumió el mando, y el ejército llegó a las puertas de Viena cuando la ciudad, ya en las últimas, estaba a punto de capitular. Al alba del 12 de septiembre de aquel 1683, el religioso celebró la misa sobre el Kahlenberg, la colina que está sobre la ciudad, ayudado en el altar por los reyes y los príncipes de la coalición.
Tras una inflamada predicación en una mezcla de italiano, alemán y latín, manteniendo en alto su cruz de madera, el padre Marco se hincó de rodillas rezando, mientras las tropas avanzaban al asalto. Los cristianos eran la mitad que los musulmanes, y a diferencia de éstos, no contaban con artillería. Pero el ímpetu con que se lanzaron contra los soldados de Alá arrasó la defensa.
La batalla fue violentísima y breve. En pocas horas 20.000 turcos cayeron sobre el terreno y los sobrevivientes huyeron, abandonando todo, incluido el harén “móvil” del Gran Visir. La amenaza islámica en el corazón de Europa había sido desbaratada. El padre Aviano estuvo entre los primeros que entraron en la Viena liberada y celebró el “Te Deum” en la catedral.
En los años siguientes, su incansable actividad fue decisiva para la liberación de Budapest y de Belgrado. Si los turcos fueron acosados y rechazados hacia Estambul, el mérito fue de la “Liga Santa”, en la que el capuchino había logrado que entrara también Venecia, siempre ambigua y vacilante.
Cuando murió, en su pobre celda lloraban, de rodillas, el emperador y su mujer: quisieron que el humilde religioso a quien se debía la salvación de Europa, fuese enterrado en su mausoleo.
Las trágicas circunstancias hicieron de Marco de Aviano un extraordinario alentador de heroísmos guerreros, un habilísimo diplomático por la causa de la unidad cristiana. Pero en realidad era un hombre de paz, completamente ajeno a las intrigas políticas: un fraile que vivió fiel a la regla franciscana y que ejercitó hasta el final las virtudes cristianas, siempre nostálgico de la paz del claustro.
Bueno y generoso, alejado de todo fanatismo y contrario a toda crueldad, siempre se afanó en salvar vidas, por mitigar la suerte de los prisioneros, por exhortar al perdón, a la misericordia, a la búsqueda del acuerdo. Si intervino en la guerra no fue más que en legítima defensa de una cristiandad agredida. Se lanzó a aconsejar planos estratégicos a los generales y tratados a los gobernantes, pero siempre y sólo para alejar la amenaza mortal de la Europa cristiana.
No fue por casualidad que los musulmanes de su tiempo le miraran con respeto, cuando no con admiración. Sólo el fundamentalismo reciente lo transformó en un “enemigo”, hasta el punto de obligar a medidas extraordinarias de seguridad cuando, dentro de pocos meses, el Papa lo elevará, “urbi et orbi”, a la gloria de los altares.+

Fonte: AICA Online

Muslims claim that Jesus Christ and all the Old Testament prophets were true Muslims

The followers of Muhammad show outward respect and devotion to Jesus Christ as well as to all of the Old Testament prophets. To show this outward respect, a Muslim writer puts an acronym after the name of Jesus Christ or one of the Old Testament prophets. The most common acronym used is 'pbuh,' meaning, "peace be upon him." It is the English meaning of the Arabic words, Allah's Salaam. Furthermore, Muslims claim that Jesus Christ and all the Old Testament prophets were true Muslims and prophets of the Lord of the Universe. On the surface, this sounds amazingly supportive of Jesus Christ and the ancient messengers of Allah. There is hardly a religion in all the world that praises these faithful servants of Allah more than Muslim believers.
Yet, in spite of all the verbal praise that Muslims heap upon the holy prophets, they are one the most vigorous opponents to their prophetic message. They disparage and attack the prophetic messages in the holy scriptures, claiming they have been corrupted by Jews and Christians. So, on the one hand, they praise the prophet’s names to the high heavens; but, on the other hand, they toss the prophet’s writings to the lowest earth. It is easy to be charmed by a Muslim’s praise of the divine prophets. With atheists, there is no danger of being disarmed. Atheists don’t believe Allah exists; therefore, they don’t believe there were any divine prophets. So, they don’t praise the prophets above any other person who gives an educated opinion. But, with Muslims, the danger exists, because they claim the Old Testament prophets were divine messengers. Yet, subvert the message itself and argue that the Old and New Testament writings don’t reflect what the prophet wrote. With respect to atheists and Muslims, the end result is the same. Both views attack the integrity of Allah’s message contained the Holy Scriptures.
Now, a person might wonder why it is necessary for Muslims to reject the writings of the true prophets of Allah. Primarily, it is because Muhammad and his message do not harmonize with Allah’s true prophets. He is like a discordant note. So, naturally, Muslims have to claim that the Old and New Testaments were corrupted and are no longer trustworthy. Because, if the Old and New Testament writings really reflect Allah’s truth, then Muhammad and his message stand opposed to the entire prophetic lineage. So, it is vital to Muslim apologists to subvert the message of the ancient witnesses. Their goal is more effectively accomplished by effusive praise of the prophets. (more...)

Thursday, November 8, 2007

L'Islam vu par le Cardinal Pie

Cardinal PieÀ l'époque qui nous occupe, (à la fin du 8e siècle) il avait paru sur la terre, depuis bientôt deux siècles, un fils de Bélial, à qui il était réservé de tenir en haleine la chrétienté tout entière durant une période de plus de mille ans. L'islamisme, «religion monstrueuse» dit Bossuet dans son beau panégyrique de saint Pierre Nolasque, «religion qui se dément elle-même, qui a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes», et j'ajouterai, pour tout attrait ses excitations voluptueuses et ses promesses immorales, l'islamisme avait déjà envahi d'immenses contrées. Que le schisme, que l'hérésie tombassent sous ses coups, c'était un grand malheur sans doute: toutefois c'est la loi de l'histoire et c'est un ordre accoutumé de la Providence que, pour punir les peuples pervers, Dieu se sert d'autres peuples plus pervers encore; et cette mission, l'islamisme en était investi pour longtemps.
Mais voici que la chrétienté n'est plus seulement atteinte dans ces races dégénérées qui ont décomposé en elles le principe de la vie par l'altération du principe de l'unité et de la vérité: c'est l'Europe dans ses parties les plus vitales, c'est le cœur même des races catholiques qui est menacé; c'est le boulevard de l'orthodoxie, c'est le royaume très chrétien, c'est la France, et, derrière le rempart de la France, c'est la métropole du christianisme, c'est le monde entier qui aura tout à redouter de ces nouveaux et implacables barbares. Ils ont franchi les Pyrénées, ils se sont rués sur nos belles provinces du midi, ils ont étanché la soif de leur glaive dans le sang de nos frères orthodoxes, ils s'avancent jusque dans la Bourgogne; leurs traces sont marquées par le feu et par le sang, mais surtout par la profanation et l'impiété. Nul bras n'ose entreprendre de les arrêter...

(Cardinal Pie, le 8.11.1859, dans la cathédrale de Nantes)

Source: Points de vue sur l'Islam

Tuesday, November 6, 2007

Islam e Cristianità - Aggressori e aggrediti

Nella storia più che millenaria dei rapporti tra l'islam e la cristianità è sempre stata quest'ultima a dover difendersi dall'assalto musulmano. Il tentativo dell'islam di invadere le nazioni cristiane è pressocchè simultaneo rispetto alla nascita della fede in Allah. Sin dal VII secolo, i popoli cristiani patirono un terribile confronto che ha avuto soste, ma che non ha avuto mai termine.

Giovanni FORMICOLA
Aggressori e aggrediti
tratto da: Il Cerchio, settembre-ottobre 2002, p. 64-65.

Viviamo in tempi caratterizzati, fra l'altro, da un insopportabile «meaculpismo», come autorevolmente è stata definita la propensione da parte del ceto intellettuale occidentale, ma non senza ricadute «popolari», a denigrare, in occidente, l'Occidente, la sua storia e le sue radici culturali, ostentando vergogna per esse. Sembra quasi che i nostri nonni fossero tutti belve assetate di sangue (al che vien fatto di chiedersi donde verrebbero gli agnellini che noi invece oggi saremmo).

Uno dei temi su cui più frequentemente si esercita tale tendenza è quello delle crociate, che, insieme con l'evangelizzazione delle Americhe, sarebbero esempio del colonialismo culturale proprio dell'Occidente - ed in particolare della sua anima, il cristianesimo - e della sua aggressività. L'islam viene comunemente presentato, dai «meaculpisti» di professione, come il soggetto ingiustamente aggredito. Qualcuno giunge anche ad adombrare che in fondo ciò che è accaduto e sta accadendo nel mondo in termini di terrorismo islamico sia una sorta di reazione - beninteso, dicono i «nostri», esagerata, eccessiva, e qualcuno è tanto coraggioso da spingersi a dichiararla inammissibile - a quel lontano episodio ed al perdurare dello spirito che lo animò.

Appare dunque non inutile ricordare, sia pure sinteticamente, i fatti, per capire chi sia stato storicamente l'aggressore e chi l'aggredito, pur sapendo che come sono inammissibili le «leggende nere», sono inammissibili anche le «leggende rosa»; e che bene e male purtroppo si confondono e coesistono in ogni vicenda storica, che presenta sempre luci ed ombre. Tuttavia, ben tenendo presenti questi limiti, e non chiedendo alla storia di spiegare più di quel che può - ma neanche di meno -, alla scuola di un grande storico belga, Henri Pirenne (1862-1935), che. scrive quando la questione islamica è tutt'altro che attuale, e cioè nel 1935, e quindi senza essere sospettabile di animosità particolare. vediamo chi «ha cominciato», almeno per decidere se le crociate siano state un atto d'aggressione o di difesa.

Tutti sanno che Maometto muore nel 632 d. C. e che fin da subito la comunità politico-religiosa da lui fondata si espande militarmente, conquistando quel che restava dell'impero persiano e poi tutto il Nord Africa, muovendo dalla Penisola Arabica. Subito dopo, tocca all'Europa cristiana, alla cristianità seppure ancora non compiutamente tale, aggredita dal mare e via terra seguendo la «pista» delle tre penisole, quella iberica, quella italica, quella balcanica.

La sequenza di date è impressionante. Tra il 711 ed il 713 viene conquistata la Spagna, che solo nel 1492, anno in cui si conclude la Reconquista, verrà liberata. In Francia nel 720, viene conquistata Narbonne, nel 725 tocca a Carcassonne e Autun, nel 735 Arles, nel 737 Avignone. In Italia, già nel 650 l'onda si abbatte per la prima volta sulla Sicilia. Nell'806, viene conquistata Pantelleria, ed i monaci che vi si trovarono vengono venduti come schiavi (poi riscattati da Carlo Magmo); nell'810 la Sardegna: nell'8l2, vengono saccheggiare Lampedusa, Ponza ed Ischia; nell'831 è presa Palermo; nell'838, Brindisi e Taranto; nell'840, Bari; nell'841, Ancona e la costa Dalmata; nell'843, Messina; nell'846, risalendo il Tevere gl'islamici entrano a Roma e distruggono le basiliche di S. Paolo e S. Pietro provocando un fremito d'orrore in tutto l'occidente cristiano, il che indurrà ad edificare le mura leonine, che cinsero il Vaticano (Civitas Leonina, 848-852); nell'878, viene conquistata dopo strenua ed eroica resistenza Siracusa; nell'883, Montecassino e l'abbazia vengono saccheggiate e distrutte. Si potrebbe continuare ancora a lungo, ma sarebbe noioso. Un solo quesito, attesa la data di nascita dell'islam: chi l'aggredito, chi l'aggressore?

Riesce inoltre difficile continuare a nutrire complessi di colpa troppo intensi se poi si pone mente alla sorte delle popolazioni che vivevamo lungo le coste non islamizzate del Mediterraneo. Coste per secoli desertificate, e spesso ridotte ad acquitrini paludosi, a causa del terrore per le incursioni islamico-saracene, terrore che spinse chi le popolava (e coltivava) ad abbandonarle e a rifugiarsi in un interno impervio, montagnoso ed arido (che una - e sottolineo una - delle cause del «sottosviluppo» del Sud d'Europa sia proprio questa?). E come effetto di tali incursioni, a centinaia di migliaia si contano gli uccisi e stuprati, ma soprattutto rapiti - specialmente se donne e bambini - per essere ridotti in schiavitù e trasformati in «giannizzeri», eunuchi e concubine nell'harem, oltre che rivenduti in un turpe commercio.

«Con l'islam un nuovo mondo entra nel bacino del Mediterraneo [...]. Il mare, che era stato fino allora il centro della cristianità, ne diviene 1a frontiera. L'unità mediterranea è rotta». Così Pirenne. Il Mediterraneo viene «chiuso» e per «riaprirlo», anche al fine di consentire i pellegrinaggi in Terra Santa, furono predicate e promosse le crociate. Fallite queste, per aggirarlo si «apri» l'Atlantico, destinato a diventare il bacino di una Magna Europa, come Ionio e Tirreno lo furono della Magna Grecia.

Ricordare tutto questo è indispensabile. Certo non per coltivare sogni di rivincita o rinfocolare aggressività occidentali. Piuttosto per restituire alla storia un pò di verità - unica carità che le è concessa - e tramite questa promuovere tra le nostre genti un riequilibrio psicologico che c'induca ad essere pietosi verso il nostro passato, come quel figlio di Noè che coprì le vergogne del padre addormentatosi scompostamente perché ubriaco. Pietosi, ma anche orgogliosi di quel che di buono i nostri padri ci hanno lasciato - ed è tanto -, ed in primo luogo dei valori di fondazione del mondo da essi «creato»: il cristianesimo, la centralità della persona, la libertà di vivere la propria fede e la propria cultura.

E' indiscutibile: non ha cominciato l'Occidente, che, pur con tutte le sue colpe ed i suoi difetti, nei confronti dell'islam è aggredito e non aggressore. Anche oggi. Questo non ci autorizza a nient'altro che a ricordare, come insegna Nicolàs Gòmez Dàvila (1913-1994), che «le civiltà muoiono per l'indifferenza verso i valori peculiari che le fondano», e che oggi il «meaculpismo» promuove tale indifferenza quando non l'ostilità verso i valori occidentali, in un clima di relativismo culturale che conosce un solo assoluto: «tutto può andare bene, tranne l'Occidente.

Fonte: Storialibera.it

Guerra santa. Quell'anno in cui i musulmani presero Roma

Sandro MAGISTER

The Legacy of IslamPochi lo sanno, ma è accaduto. Un libro uscito negli Stati Uniti offre per la prima volta al grande pubblico i maggiori documenti sulla teoria e la pratica del jihad. Da Maometto a oggi. Un libro uscito da poco negli Stati Uniti alza il velo su un aspetto capitale dell'islam, di cui troppi sanno poco e male: il jihad, la guerra santa.
E' un aspetto su cui largamente si tace, come fosse un tabù. Anche tra i cristiani, nella memoria diffusa che si ha della storia della Chiesa, vi sono a questo proposito dei grossi buchi neri.
Un esempio? Molti ricordano cosa avvenne a Roma, nella basilica di San Pietro, la notte di Natale dell'anno 800. Finita la messa, papa Leone III pose solennemente sul capo di Carlo Magno la corona del Sacro Romano Impero.
La basilica di San Pietro brillava quella notte di stupefacente fulgore. Pochi anni prima il predecessore di Leone III, papa Adriano I, aveva ricoperto l'intero pavimento del presbiterio con lastre d'argento, aveva rivestito le pareti con lastre d'oro e cinto il tutto con una balaustra d'oro del peso di 1.328 libbre. Aveva rifatto in argento i cancelli del presbiterio e appeso all'iconostasi sei immagini anch'esse d'argento raffiguranti Cristo, Maria, gli arcangeli Gabriele e Michele, i santi Andrea e Giovanni. Infine, perché tale splendore fosse pienamente visibile a tutti, aveva innalzato un candelabro in forma di grande croce su cui brillavano le luci di 1.365 candele.
Meno di mezzo secolo dopo, però, di tutto questo non restò più nulla. E su che cosa avvenne regna oggi un generale vuoto di memoria, tra i cristiani.
Avvenne che nell'aprile dell'anno 846 degli arabi musulmani, arrivati con una flotta alle foci del Tevere, raggiunsero Roma, la invasero, la saccheggiarono e portarono via dalla basilica di San Pietro tutto l'oro e l'argento che conteneva.
E non si trattava di un attacco occasionale. Dall'anno 827 gli arabi avevano conquistato la Sicilia, che mantennero sotto il loro dominio due secoli e mezzo. Roma era seriamente sotto minaccia ravvicinata. Nell'847, l'anno dopo l'assalto, il nuovo papa Leone IV iniziò la costruzione di mura attorno a tutta l'area vaticana, alte 12 metri e munite di 44 torri. Le completò in sei anni. Sono le mura "leonine" di cui restano ampi tratti. Ma pochissimi oggi sanno che esse furono erette per difendere la sede di Pietro dal jihad musulmano. E tra chi lo sa molti tacciono per pudore. "Non muri ma ponti", è lo slogan che oggi è di moda.
Il libro che alza il velo sulla guerra santa islamica ha per titolo "The Legacy of Jihad", l'eredità del jihad, ed è curato da Andrew G. Bostom.
E' un libro essenzialmente fatto di documenti, molti dei quali per la prima volta tradotti in inglese dall'arabo o dal parsi, oppure ripresi da libri di orientalisti di difficile consultazione per il grande pubblico.
I documenti spaziano dal secolo di Maometto, il settimo, fino al ventesimo. E comprendono sia testi classici sul tema del jihad di teologi e giuristi musulmani, sia resoconti di guerra di testimoni antichi e moderni, musulmani e non, sia analisi del jihad ad opera di studiosi di vario orientamento.
Corredano il libro miniature che raffigurano momenti di jihad nella storia, e mappe geografiche che documentano l'espansione militare dell'islam secolo dopo secolo, dal settimo all'undicesimo. Ogni mappa è corredata da un sommario che elenca gli atti di guerra in ciascuna regione.
Ad esempio, in quel nono secolo in cui Roma fu presa d'assalto e la Sicilia conquistata, le armate musulmane occuparono in Italia Bari e Brindisi per trent'anni, Taranto per quaranta, Benevento per dieci; attaccarono più volte Napoli, Capua, la Calabria, la Sardegna; misero a ferro e fuoco l'abbazia di Montecassino; fecero scorrerie anche nell'Italia del Nord, arrivando dalla Spagna e valicando le Alpi.
Dall'imponente documentazione raccolta da Bostom un dato emerge con chiarezza: il jihad non è una delle forme in cui si attuò, in particolari luoghi e momenti, l'espansione dell'islam, ma è un'istituzione connaturata al sistema musulmano stesso, è una sua obbligazione religiosa permanente.
Una cosa che stupisce è che a pubblicare in Occidente questa documentazione sia un non specialista. Bostom è medico epidemiologo e vive a Providence nel Rhode Island. Ma forse proprio questa sua non appartenza all'accademia degli orientalisti e islamologi lo rende più libero dai tabù che imbavagliano molti di questi.
Contro il proislamismo di larga parte della cultura occidentale hanno scritto pagine graffianti, tra altri, Jacques Ellul, Oriana Fallaci e Bat Ye'or, quest'ultima grande specialista della condizione subordinata imposta sistematicamente dall'islam ai sudditi non musulmani dei paesi conquistati, nonché autrice nel 2005 di un saggio dal titolo eloquente: "Eurabia. The Euro-Arab Axis".
Una tesi centrale dei tre autori citati è che l'islam sia un tutto coerente e irreformabile nei suoi elementi essenziali, e che la libertà e i diritti della persona non vi possano appartanere.
Ma anche un autore che non condivide tale tesi ed è anzi uno dei più decisi assertori della compatibilità tra islam e democrazia - Bernard Lewis, uno dei più autorevoli islamologi viventi, professore a Princeton - ha criticato severamente le tendenze proislamiche in voga tra intellettuali e politici occidentali, persino ebrei.
In un saggio dal titolo "The Pro-Islamic Jews", Lewis ha riscostruito come l'idea di un'antica Spagna musulmana tollerante con cristiani ed ebrei - oggi evocata da molti come un'età dell'oro - sia un mito romantico del diciannovesimo secolo, creato proprio da ebrei in polemica con i cristiani.
Anche l'adesione della moderna Turchia al campo occidentale e il suo sostegno allo stato d'Israele hanno indotto una diffusa reticenza sui massacri da essa compiuti nel secolo scorso dei cristiani armeni.
E ancora, a incoraggiare il generale silenzio sulle guerre sante di ieri e di oggi - come anche sulla schiavitù tuttora praticata dai musulmani in talune regioni, sugli assalti a chiese e sulle uccisioni di cristiani - ci sono la ricerca di un buon vicinato con la crescente immigrazione musulmana in Europa, la paura di attacchi terroristici, la volontà di mostrarsi estranei allo schema dello "scontro di civiltà".
Ma di queste reticenze e silenzi dell'Occidente sono vittime, tra i musulmani, proprio coloro che coraggiosamente si battono per riformare la fede islamica e conciliarla con la democrazia e la modernità.
Meno male che, a non lasciarli soli, arrivano libri come questo di Andrew G. Bostom.

Fonte: Guerra santa. Quell'anno in cui i musulmani presero Roma
tratto da: chiesa.espressonline.it, 5.1.2006.

Muslims sack the capital of the Christian Church

On August 10th 846 the marquis Adalbertus of Tuscany, who watches over Corsica, writes to the pope to warn him of a near attack of the Arabs. But it is too late.
On August 28th 846 the Arabs arrived at the mouth of the river Tiber and they sailed towards Rome.
From Civitavecchia an army started the descent by land in direction of Rome.
Another army began the march from Portus and Ostia.
They didn't succeed in entering the enclosing walls, validly defended by the Romans, but the churches of St. Peter and St. Paul, outside the boundaries, were violated by the Arabs.
Uselessly Saxons, Longobards, Frisians and Franks defended St. Peter up to the last man. The Arabs brought away all the treasures of St. Peter, they tore the silver leaves of the doors, the gold foils of the floor of the confession, devastated the bronzy crypt of the apostle, took the gold cross that stood on the grave of Peter. They laid waste all the churches of the district Suburb.
The marquis Guy of Spoleto, arrived to help Rome, succeeded in defeating the Arabs who withdrew partly towards Civitavecchia and partly towards Fondi, following the Appian Way.
The Arabs' passage, in flight, provoked ruin and devastation in all the Roman country.
At Gaeta the Longobard army clashed again with the Arabs. Guy of Spoleto found himself in serious difficulties, but the Byzantine troops of Cesarius, son of Sergius, magister militum in Naples, arrived in time.
In November of 846 a storm provoked numerous damages to the ships of the Arabs, some of which were shipwrecked on the coast.
The pope Leo IV, in consequence of the attack against St. Peter, in 848 undertook the construction of the Civitas Leonina to protect the Vatican hill. The enclosing walls were completed in June 27th 852.

Source: Maat.it: The Arabs attack Rome

Sunday, November 4, 2007

L'Évêque de Smyrne: Supplique pour les Chrétiens d'Europe

Monseigneur Giuseppe Germano Bernardini, o.f.m. cap., Archevêque de Smyrne (Izmir) en Turquie, a présenté son expérience de l 'islam au Synode des Évêques qui s 'est tenu à Rome en octobre 1999.

Je vis depuis 42 ans en Turquie, un pays qui est musulman à 99.9%, et je suis Archevêque de Smyrne - Asie Mineure - depuis 16 ans. Le sujet de mon intervention est par conséquent évident : le problème de l' islam en Europe, actuellement et dans le proche avenir. Je remercie Mgr. Pelâtre et tous ceux qui ont déjà parlé sur ce sujet au cours de cette assemblée prestigieuse, me dispensant ainsi de longues analyses et de leurs interprétations respectives.

Mon intervention a surtout pour but d'adresser une humble demande au Saint-Père. Afin d'être bref et clair, je ferai tout d'abord référence à trois cas qui, compte tenu de leur provenance, ont, selon moi, réellement eu lieu.

1 - Au cours d'une rencontre officielle sur le dialogue islamique et chrétien, un personnage musulman influent, s'adressant aux participants chrétiens, affirme avec calme et sûreté : «Grâce à vos lois démocratiques, nous vous envahirons : grâce à nos lois religieuses, nous vous dominerons».

Il faut y croire, car la «domination» a déjà commencé avec les pétrodollars, utilisés non pas pour créer du travail dans les pays pauvres d'Afrique du Nord ou du Moyen-Orient, mais pour construire des mosquées et des centres culturels dans les pays chrétiens de l'émigration islamique, y compris Rome, centre de la Chrétienté. Comment ne pas voir dans tout cela, un programme d'expansion et de reconquête bien précis?

2 - A l'occasion d'une autre rencontre entre islamiques et chrétiens, organisée comme d'habitude par les chrétiens, un participant chrétien demanda publiquement aux musulmans présents pour quelle raison ils n'organiseraient pas eux aussi, au moins une fois, des rencontres de ce genre. L'immanquable musulman influent présent, répondit textuellement: «Pourquoi devrions-nous le faire? Vous n'avez rien à nous apprendre et nous n'avons rien à apprendre».

Un dialogue entre sourds ? C'est un fait que des termes tels que «dialogue», «justice», «réciprocité», ou des concepts tels que «droits de l'homme», «démocratie», ont pour les musulmans une signification complètement différente par rapport à la nôtre. Mais, je crois que ceci est désormais reconnu de tous.

3 - Dans un monastère catholique de Jérusalem il y avait - et peut-être y est-il encore - un domestique arabe musulman. Une personne gentille et honnête, qui était très appréciée par les religieux, mais le contraire n'était pas vrai. Un jour, avec un air triste, il leur dit: «Nos chefs se sont réunis et ils ont décidé que tous les «infidèles» doivent être assassinés, mais vous, n'ayez pas peur, car c'est moi qui vous tuerai sans vous faire souffrir».

Nous savons tous qu'il faut faire une distinction entre la minorité fanatique et violente et la majorité tranquille et honnête, mais celle-ci, suite à un ordre donné au nom d’Allah ou du Coran, marchera toujours unie et sans hésitation.

D'ailleurs, l'histoire nous apprend que les minorités décidées, parviennent toujours à s'imposer aux majorités silencieuses et renonciatrices.

Il serait ingénu de sous-estimer ou, pire encore, de sourire de ces trois exemples que j'ai indiqués; il me semble qu' il faudrait réfléchir sérieusement sur leur dramatique enseignement.

Mon attitude n'est pas pessimiste, malgré les apparences. Le chrétien ne peut pas être pessimiste, car le Christ est ressuscité et vivant ; Il est Dieu, à la différence de tout autre prophète ou considéré comme tel. La victoire finale sera du Christ, mais les temps de Dieu peuvent être longs, et normalement ils le sont. Il est patient et Il attend la conversion des pécheurs : entre-temps, Il invite toutefois l'Église à s'organiser et à travailler pour accélérer la venue de son Royaume.

Je voudrais maintenant faire une proposition sérieuse au Saint-Père : organiser au plus tôt, si ce n’est un Synode, au moins un Symposium d’évêques et d’agents de la pastorale parmi les immigrés, avec une référence particulière aux islamiques, en l’étendant aux représentants de l’église réformée et aux orthodoxes. Son organisation pourrait être confiée à la CCEE, qui a une longue expérience dans ce secteur, en collaboration avec la KEK.

Le symposium devrait servir à approfondir d’une manière collégiale le problème des islamiques dans les pays chrétiens, et trouver ainsi une stratégie commune pour y faire face et le résoudre de façon chrétienne et objective. Il est indispensable de se trouver d’accord sur les principes, même si leur application variera selon les lieux et les personnes. Rien n’est plus néfaste que le désaccord sur les principes !

Je conclus avec une exhortation qui m'a été suggérée par l'expérience: que l'on ne concède jamais aux musulmans une église catholique pour leur culte; ce serait pour eux la preuve la plus certaine de notre apostasie.

(Traduction du Synode des Évêques et de la Salle de Presse du Saint-Siège)
l 'Osservatore Romano, 26 octobre 1999. – N. 43