Que São Francisco é esse apresentado na TV pela Lux Vide do catolicíssimo Ettore Bernabei? Quando o relato tocou na tecla das Cruzadas, aquilo que sabemos dos relatos da época foi revirado ao contrário como se fosse uma fritada.
Frente ao sultão Malek Kamel, São Francisco não pediu, de modo algum, perdão pela ofensiva do exército cristão. Do testemunho de Frei Illuminato, que o acompanhou nessa missão, sabemos que o santo disse:
“Os cristãos agem conforme a justiça quando invadem as vossas terras e vos combatem, porque vós blasfemais o nome de Cristo e vos esforçais para afastar de sua religião quanto mais homens puderdes afastar. Se, pelo contrário, vós quisésseis reconhecer, confessar e adorar o Criador e Redentor do mundo, eles vos amariam como a si mesmos”.
Além disso, quanto ao diálogo inter religioso, sabemos por São Boaventura, que São Francisco falando com o Sultão foi logo ao ponto mais delicado, sabendo que corria o risco do martírio:
“Pregou ao Sultão o Deus uno e trino e o Salvador de todos, Jesus Cristo”
E quando viu que ninguém lhe dava razão?
“Vendo que não fazia progressos na conversão daquela gente e que não podia realizar o seu projeto, prevenido por uma revelação divina, ele retornou aos países cristãos”
Contra as modernas “mutilações” de São Francisco é útil relembrar o que disse Bento XVI em Assis, no último 17 de Junho: “São Francisco é um verdadeiro mestre para os cristãos de hoje”
Fonte: São Francisco pacifista, enésima mentira da TV
Friday, December 7, 2007
São Francisco ao sultão Malek Kamel: Vós blasfemais o nome de Cristo
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Monday, November 26, 2007
Europeans must realize that Islam is not just another religion in their multi cultural religious rainbow
(...)
Muslims in
More abhorrent than war is making peace with evil. In the words of the 18th Century British parliamentarian Edmund Burke, "All that is necessary for evil to triumph is for good men to do nothing." Those who advocate peace with Islam are fools of this century. If we do not stand against Islam it will grow and then billions will die. Trying to appease Muslims is foolish. It is informed by ignorance of Islam. Most cancers are treatable, if detected in time. But if you ignore them because you think fighting them is daunting, they will grow to a stage that will kill you. Today we have the choice. We can either fight Islam and extirpate it before it threatens our existence or wait and face the apocalypses.
The threat of Islam today, is much greater than the threat of Nazism during the 1930s. Failure to address this threat will result in a war more devastating than the Second World War. Those who advocate peace do not want peace. They are either the enemy itself that wants you to remain peaceful so he can kill you easily or the useful idiots who have no understanding of the danger the world is facing and have fallen into the trap of the enemy, dancing to the beat of their drums.
Let us remove these masks of deception. Those who advocate “peace” and demand more appeasements and concessions for Muslims are not really working for peace. They are either the enemy itself, or the “useful idiots” working for the enemy.
"Useful idiot" was a sobriquet that the the Chinese Premier Chou En Lai had given to the Indian Prime Minister Jawaharlal Nehru for his blind appeasing the communists and for in 1955 turning down the offer of permanent membership in the United Nations Security Council for India and arguing that the Communist China should get the seat instead. "The first step to be taken is for China to take her rightful place, and then the question of India might be discussed separately," India's then prime minister Jawaharlal Nehru wrote in a letter to the country's top political leaders – explaining why he supported Beijing. He said "Hindi Chini bhai bhai", Indians and Chinese are brothers. But all these did not stop China from invading India in 1962. Appeasement never works
Today the leftists are the “useful idiots” for appeasing the Islamists, just as Neville Chamberlain was the useful idiot for appeasing the Nazis.
Actually the term "Useful Idiot" is believed to be coined by Vladimir Lenin to describe those gullible western reporters who would endorse the Soviets who in just three months had tortured and executed more dissenters than the czars had done in 92 years from 1825-1917. Later on these "useful idiots" would continue praising communism, its policies and its "achievements" during the Cold War. They became apologists for the excesses of the Soviets and did their best to deflect any criticism of this brutal regime.
Today, most of the Western politicians and the mainstream media are vying for that dubious distinction to be the useful idiots for Islam. They volunteer to defend Islam, become its unpaid apologists and say Islam does not preach peace, every time there is a news about terrorism.
The question is; whether the Europeans also want the title.
Saturday, November 24, 2007
La bataille de Montgisard, Jérusalem - le 25 novembre 1177
La bataille de Montgisard (du mont Gisard) est probablement l’une des plus belles victoires des armées chrétiennes, principalement franque donc principalement venant de France.
Une grande partie des armées franques sont en Syrie. Saladin veut profiter de ce moment pour fondre sur Jérusalem. Saladin se dirigea d’abord sur Gaza mais les templiers prévenus de l’arrivée de Saladin ont fortifié à la hâte le château. Saladin préféra donc contourner pour aller à la ville d'Alascon. Baudouin IV avec ses chevaliers fondit vers la ville pour la défendre. Saladin encore une fois préféra rebrousser chemin et se diriger directement vers Jérusalem.
Cependant il préféra éparpiller une partie de son armée pour permettre le pillage et également de harceler par vagues d’attaques les positons chrétiens. Saladin ne pensait pas que Baudouin IV était un danger avec autant peu d’homme ce qui fut une erreur comme nous pourrons le voir plus tard. Saladin prit sur le chemin la ville de Ramala et assiégea la ville de Lydda et Arsuf. Baudouin IV comprit qu’il avait à une carte à jouer et réunit le plus de chevaliers possibles disponibles, estimés à 300 - 400 chevaliers, de 80 templiers et d’une petite centaine de fantassins.
Le lieu ou les forces franques de Baudouin IV et celle de Saladin se rejoignirent, fut sur le Montgisard à l’ouest de Jérusalem à Tell al-Safiya. Malgré qu’une partie de l’armée de Saladin était décomposée, les chevaliers se retrouvèrent à 1 contre 20. Baudouin était accompagné par le tumultueux Renaud de Châtillon, seigneur de Kerak, de Balian d’Ibelin et ‘surtout’ des reliques de la Sainte Croix, malgré les réticences des religieux. Les reliques avait également un effet dévastateur auprès des ennemis arabes, puisque utilisés dans de nombreuses victoires apportait un effet psychologique non négligeable, surtout que la croix qui représentait les reliques était visible de très loin.
L’armée dirigée par Saladin, déjà battu par Baudouin IV en 1176, est composée d’environ 30 000* éléments guerriers. Il faut cependant relativiser la grande majorité des armées Sarrazins étaient en général peu entraînées et pas très disciplinées. Ce qui n’enlève rien à la charge héroïque de l’armée franque d’autant plus que la faiblesse tactique des armées arabes était compensée par une armée largement plus nombreuse en nombre. On peut faire un rapprochement inverse avec la bataille de Thermopyles, qui malgré la bravoure de Léonidas et de 300 hoplites spartiates, ont succombé dans la totalité aux milliers de Perses. Le nombre est souvent un facteur de réussite guerrière surtout avec un effet psychologique dévastateur.
C’est donc « comme une mer » que l’armée arabe se présente contre les forces de Baudouin IV. À ce moment-là Saladin est totalement abasourdi ! il ne s’attendait pas du tout à voir Baudouin IV, c’est donc une attaque surprise et considérée comme suicidaire.
Il faut imaginer une marée humaine qui pour l’époque était déjà très impressionnante. Michel le Syrien dit : « Quand le Dieu qui fait paraître sa force dans les faibles, inspira le roi infirme... Il descendit de sa monture, se prosterna la face contre terre devant la Croix (saintes reliques) et pria avec des larmes. À cette vue le cœur de tous ses soldats fut ému. Ils étendirent tous la main sur la croix et jurèrent de ne jamais fuir et, en cas de défaite, de regarder comme traître et apostat quiconque fuirait au lieu de mourir ». Les saintes reliques étaient souvent emportées pendant les combats. On peut remarquer par ailleurs la similitude avec l’état d’esprit de l’époque des chevaliers français avec le goût du challenge et du sacrifice qui fera merveille plus tard Bouvines. On peut imaginer l’émotion face à une telle armée, surtout en étant aussi peu nombreux.
A la surprise générale, Les chevaliers francs fondirent courageusement sur les hommes de Saladin et comme dans du beurre éventrèrent l’armée arabe. Ce fut un réel carnage, l’armée de Saladin est complètement submergée par 400 chevaliers. Plusieurs officiers musulmans furent tués, mais surtout Saladin failli mourir.
Protégé par sa garde rapprochée de mameluk d’environ 1000 hommes, les chevaliers vont à nouveau fondre comme une masse, au point de se rapprocher dangereusement de Saladin. Il est à deux doigts de se faire tuer, mais réussit à la faveur d’une nuit tombante à s’enfuir dans le désert. L’armée de Saladin est presque anéantie et les rares survivants éparpillés dans le désert.
La victoire fut écrasante et pesa lourd dans l’esprit de Saladin et de son armée. Les forces franques, on pourrait presque dire française, était globalement déjà très redoutée et cette victoire à 1 contre 20 était de nature à mystifier et faire peur à une majorité de soldats arabes. Saladin semble t-il avait un respect de Baudouin IV et préférait dans certains cas ne pas pouvoir se battre, ce qui à donné à Saladin le terme « Saladin le sage ». Il fut plus sage par rapport au fait qu’il économisait son armée et des massacres inutiles que par sa générosité.
Cette victoire éclatante d’un roi diminué par la lèpre (maladie terrible pour l’époque, car atroce et profondément mutilante) fit de Baudouin IV un roi légendaire, qui préférait mourir malade au combat que dans un lit à attendre sagement la fin comme lui conseillait par ailleurs hardiment la majorité de sa cour. Elle permit par ailleurs de contracter un accord entre Saladin et Baudouin IV, permettant pendant environ quatre ans une relative paix.
Ps: La bataille des chiffres est aussi difficile à trancher. Certains disent qu’ils étaient ‘que’ 7000 -8000 d’autres plutôt 20 000 et puis d’autres proches de 30 000. Le rationnel voudrait que qu’ils ne soit ‘que 7000 -8000 ‘ mais cela ne veut pas dire que c’est vrai. Les armées ‘professionnelles’ de Saladin étaient surtout composé de mameluck et de cavalier mais qui étaient très loin de représenter la majorité de son armée. La grande majorité était composé de guerriers pris sur le tars, souvent inexpérimenté et à pieds, face à des chevaliers ils n’avaient donc très peu de chance de survivre. De plus l’armée de Saladin à été mainte fois très largement en surnombre face aux armées francs, ce qui ne préjugeaient pas du tout des victoires. La victoire de Hattin par Saladin est lié plus à une imbécilité tactique des armées francs qu’une réelle suprématie militaire.
Posted avril 23rd, 2007 by montjoye
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The Crusades - Images from the Salles des Croisades at Versailles (1839-1842)
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Friday, November 23, 2007
St. Francis of Assisi and the Conversion of the Muslims
St. Francis of Assisi accompanied the Crusaders to Egypt on the Fifth Crusade, and boldly walked right into the Muslim camp in a spectacular attempt to preach Christianity to the Sultan and his followers. The author shows that St. Francis was a supporter of the armed Crusade, and his goal was the conversion of the Muslims, rather than simply "dialoging" as an end in itself, as some revisionists have purported. He made such an impact with his preaching, that the sultan rebuffed some of his own religious advisors, the imams, who were insisting that Islamic law required that St. Francis must be beheaded.
While the book focuses on this historic encounter, it also includes a comprehensive biography of the Saint, taking the reader through the essential aspects of his life and his life-changing spiritual journey. Read how St. Clare of Assisi left her comfortable aristocratic world to become his follower, how St. Francis originated the Christmas manger, and about the dramatic moment he received the stigmata.
"The most important book on St. Francis in English, in recent years."
—Brother Alexis Bugnolo, Editor, the Franciscan Archive, franciscan- archive.org
"This is a rare and daring approach to the life of St. Francis and one that is so necessary in our world at this time."
—From the Preface by Father Angelus M. Shaughnessy, O.F.M. Capuchin, EWTN TV Spokesman
TAN Books Frank M. Rega No. 2193 ISBN: 978-0-89555-858-9 16.50 210 Pp. PB.
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Friday, November 16, 2007
Hagia Sophia, the Church of Divine Wisdom
Hagia Sophia had been built during the reign of the Emperor Justinian between the years 532-537 AD and was the largest church in the world. Procopius, an eyewitness to the imposing beauty of this Church of "Divine Wisdom" wrote in his book, De Aedificiis:
The inside is too magnificent to appear commonplace, too tasteful to be thought flamboyant. The brilliance and sparkle of sunlight fills it. You could almost say that it was not lit from outside by the sun, but that it generated its own light so full of light in this holy place. From the round arch rises a tremendous spherical cupola of unique beauty. It scarcely seems to rest on its solid substructure, but rather to be a golden bowl hanging free above the interior. Up there in its heights everything merges in the most incredible harmony. One thing depends on another, yet takes support only from what is immediately beneath it. Each detail guides the eye further and so over the whole. Entering the church to pray, your soul is thus conducted on high. You ascend into heaven. You feel that God is not far away and wish to linger in a place that He Himself has chosen.
The structure was so magnificent that the Ottoman Turks could not bring themselves to destroy it when they conquered Constantinople in 1453. Instead, they converted it into a mosque, replaced the cross with a crescent and added four minarets during the 15th and 16th centuries. The mosaics and frescoes that adorned the walls were whitewashed during the 16th century. The building was finally converted into a museum on Frebruary 6, 1935.
From: "Tumultuous Times - The Twenty General Councils of the Catholic Church and Vatican II and its Aftermath" by Fr. Francisco Radecki, CMRI, Fr. Dominic Radecki, CMRI
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Tuesday, November 13, 2007
L’Islam n’a pas deux visages (Anne-Marie Delcambre)
Le musulman doit-il, dans certains cas, battre ses femmes, interdire qu’elles épousent des infidèles, se séparer d’elles en les répudiant, condamner la consommation du vin et les jeux de hasard, haïr les juifs, s’efforcer par tous les moyens d’imposer sa religion, tuer les infidèles, de la même façon qu’il doit être modeste, patient humble, juste, honnête, charitable, respectueux, dévoué à ses parents? On est tenté de répondre par l’affirmative, toute innovation étant blâmable, une hérésie.
Jean-Paul Roux
Au moment où de toutes parts redouble la désinformation, importante remise des pendules à l’heure d’Anne-Marie Delcambre, sur LibertyVox en juin dernier, concernant la distinction mensongère “islamisme”/islam.
De fait, comme le sait tout musulman conséquent, il ne saurait y avoir qu’un seul islam comme il n’y a qu’un seul Coran et un seul Mohammed, tout le reste n’étant que littérature ou… dissimulation.
Même la “paix” tant vantée avec les “religions du livre” ne peut être que tactique en attendant une ultime pacification ou au mieux l’imposition d’un statut inférieur.
Sans compter que les versets les plus durs “abrogent les versets plus doux” et qu’en fait ces derniers ne s’adressent qu’aux croyants et donc aux seuls musulmans.
Extraits:
Dire que l’islamisme n’est pas l’islam, qu’il n’a rien à voir avec l’islam, est faux. Pour le musulman d’hier et d’aujourd’hui il n’y a qu’un seul Coran comme il n’y a qu’un seul prophète. L’islamiste est autant musulman que le mystique car il s’appuie sur ces deux fondements. Et dans ces deux fondements il y a l’appel au combat. Ici-bas la guerre pour la victoire de l’islam doit être poursuivie tant que l’islam n’est pas entièrement victorieux. La paix n’est envisageable que si la victoire paraît, pour le moment, impossible ou douteuse (sourate 47, verset 35/37). Mais la paix sera plutôt une récompense du paradis, quand toute la terre aura été pacifiée. Comment passer sous silence que pour les musulmans le monde se partage entre le territoire de l’islam (dâr al-Islam) et le territoire non musulman, qualifié de territoire de la guerre (dâr al-harb)
Entre l’islam et l’islamisme, il n’y a pas de différence de nature mais de degré. L’islamisme est présent dans l’islam comme le poussin l’est dans l’oeuf. Il n’y a pas de bon ou mauvais islam, pas plus qu’il n’y a d’islam modéré. En revanche il y a des musulmans modérés, ceux qui n’appliquent que partiellement l’islam.
Pour accepter l’islam, l’Europe a forgé le mythe de l’Andalousie tolérante qui aurait constitué un âge d’or pour les trois religions. Tout ce qui concerne les combats, le statut humiliant du non musulman a été soigneusement gommé. Il s’agit d’une véritable falsification de l’histoire réelle.
En réalité on ne nous dit jamais que les textes grecs ont été traduits par des Chrétiens d’Orient, à partir du syriaque ou directement du grec. (Ni Avicenne, ni Averroès ne connaissaient le grec!).
C’est plutôt curieux pour les Juifs d’Afrique du Nord qui idéalisent leur vécu en terre d’islam. Ils n’ont trouvé la liberté que sous administration française ou dans les pays occidentaux…
Là où l’islam est particulièrement dangereux, c’est qu’il englobe toute la vie du croyant, du berceau jusqu’à la tombe, dans tous les domaines et qu’il n’y a pas de séparation entre le public et le privé, pas plus qu’il n’y a de séparation entre le politique et le religieux. L’islam est total, global, il englobe la totalité car tout comportement obéit à une règle. Mais en même temps chaque règle est une règle de comportement religieux, que cette règle soit dans le domaine juridique, politique ou intime. C’est le religieux qui recouvre tout. Le système pleinement réalisé devrait s’appeler théocratie et jamais «démocratie». On nous ment quand on nous affirme que l’islam serait une foi qui se pratique dans la sphère privée, comme le christianisme. L’islam est à la fois une foi, une loi, un droit (fiqh), lequel est l’application de la Loi qu’est la charî’a. Et cette charî’a a prescrit de combattre l’infidèle (jihâd ou qitâl), de lui réserver un traitement inégalitair (dhimmî), d’appliquer aux musulmans des peines fixes (hudûd) pour des crimes bien définis (adultère (zinâ), apostasie (ridda), blasphème (tajdîf), vol (sariqah), brigandage (qat’ al-tarîq), meurtre (qatl) et bien sûr consommation d’alcool.
Pour expliquer les attentats, il suffit de se reporter à la vie du prophète, lequel a justifié l’assassinat politique pour le bien de l’islam. De même, faire peur, inspirer la terreur (rahbat) -dont on a tiré le mot moderne “terrorisme” (irhâb)- était la méthode que le noble modèle préconisait pour semer la panique chez les ennemis del’islam. (more...)
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Labels: Delcambre Anne-Marie, Islamisme, Islamismus
El análisis que hizo sobre el Islam el escritor católico inglés Hillaire Belloc
Una reflexión sobre el Islam
Se debe recordar el análisis que hizo sobre el Islam el escritor católico inglés Hillaire Belloc, dice el cardenal
No juzgo atrevido pensar que la conversión al catolicismo, en 1845, de Newman "luego sacerdote y cardenal", tuvo, como gratificación providencial, la floración de una serie magnífica de pensadores y escritores católicos en la protestante Inglaterra. De un minucioso listado extraigo dos nombres fraternalmente unidos en la fe y en el amor y la defensa de la Iglesia Católica: G.K. Chesterton e Hillaire Belloc.
A Hillaire Belloc pocos lo recuerdan y menos son los que lo leen; y en verdad merece ser leído y releído. Belloc fue un escritor comprometido y fecundo. Con Chesterton, formaban un dúo polemista brillante. Salvo en el teatro, Belloc se movió en diversos géneros literarios: poesía, ensayos, viajes, historia y biografía. Sus textos sobre la Reforma son de imprescindible lectura para una visión acertada acerca del origen del protestantismo. Europa y la fe, La crisis de nuestra civilización y Las cruzadas; y las biografías de: Napoleón, Richelieu, Danton y Juana de Arco son títulos que enriquecen la bibliografía de Belloc. Las grandes herejías Allá por los años 30, Belloc publicó un texto, no voluminoso, sobre las grandes herejías. Las Grandes herejías, en el pensamiento y exposición de Belloc, son la herejía arriana, la grande y duradera herejía de Mahoma, el ataque albigense, la Reforma y la fase moderna. ¿Por qué este recuerdo de Belloc y su obra? Acudieron a mi memoria el libro y su autor cuando surge de su refugio parisino Khomeini como jefe religioso y político de Irán. Su fuerza se asienta en principios religiosos, por supuesto islámicos. Toma una actitud desafiante ante los Estados Unidos, guerrea contra los correligionarios iraquíes y condena a ser asesinado en cualquier lugar del mundo al autor de Versos satánicos. Luego supe que el islamismo es la segunda religión en la Francia de estos tiempos; que, sobre todo en ciertas zonas de Africa, su presencia es avasalladora. Todo el mundo sabe de la construcción de una monumental mezquita en Roma (!) y en Buenos Aires, donde acaba de donar el gobierno de la Nación más de 3.200 metros cuadrados en Palermo para la construcción de una mezquita y centro cultural. Todo ello, pero sobre todo el extraño personaje de Saddam y la guerra del Golfo, me motivaron a releer las páginas de Belloc que recordaba vagamente. Allí, Belloc estudia el origen y la expansión formidable del mahometanismo en sus primeros cien años. Analiza sus causas y lo denomina "herejía", porque Mahoma venía del paganismo; "provenía "dice Belloc" de los degradados idólatras de la salvaje Arabia, cuya conquista nunca interesó a los romanos; y vivía entre ellos". Mahoma toma verdades de la doctrina católica y del judaísmo, tales como la existencia y unidad de Dios (Alá) y su omnipotencia, eternidad y poder creador; los castigos y premios después de la muerte. Indicaba la reverencia y veneración a Nuestra Señora, pero negaba la Encarnación y la divinidad de Cristo, por consiguiente la Trinidad y toda estructura sacramental: Eucaristía, sacerdocio, matrimonio... La simplicidad de la doctrina y sus reformas económico-sociales explican en parte la rápida difusión del islamismo.
Poder mahometano
Pero hay un punto en el trabajo de Belloc que fue lo que recordé frente a los hechos contemporáneos que he citado, punto que considero no una profecía, pero sí una especie de anticipación. Diversos hechos históricos fueron arrinconando y quitándole presencia al mundo islámico. "Estamos acostumbrados hoy "dice Belloc" a pensar en el mundo mahometano como algo pasado y estancado en lo material. Belloc se pregunta: "¿Acaso podrá resurgir el islam?... ¿No recuperará tal vez el poder temporal el islam y, con él, la amenaza de un mundo mahometano armado que se emancipe de los europeos "aun nominalmente cristianos" y aparecerá como el principal enemigo de nuestra civilización? Prosigue Belloc: "Ya que la religión se halla en las raíces de todos los movimientos y cambios políticos, ya que tenemos una religión (el islamismo) muy grande, físicamente paralizada pero viva en lo moral, nos hallamos en presencia de un equilibrio inestable que no puede permanecer eternamente inestable". Cualquiera que sea el motivo, el mahometanismo ha sobrevivido vigorosamente. El esfuerzo misionero no ha tenido efecto apreciable; puede preguntarse si no veremos en el futuro un resurgimiento del poder mahometano y la reanudación de la antigua presión del islam contra la cristiandad. Belloc escribe en 1936; yo le preguntaría si no es más adecuado hablar hoy de "occidente", no de cristiandad. Se le podría también objetar que el islam no produce armas. Pero, diría Belloc, ¿no hablan ustedes hoy del "comercio de armas"? ¿Acaso los armamentos de Irak e Irán son de sola fabricación islámica? No recuerdan, proseguiría Belloc, lo que aconteció en los principios de la década del 70 con el petróleo; ¿no conmovió la economía mundial? Si en lugar de escribir en 1936 escribiera hoy, no dejaría de referirse a esos puntos e interrogantes. "Nada hay "dice textualmente" inherente al mahometanismo que lo haga incapaz de la ciencia y de la guerra moderna. Dios quiera que todo quede reducido al ámbito de meras posibilidades provenientes, es verdad, de la mente penetrante de ese gran escritor católico inglés que fue Hillaire Belloc.
ANTONIO QUARRACINO
Fuente: Clarin Digital
Monday, November 12, 2007
Un santo no amigo del Islam
Pío IX el Papa del Syllabus Son tres, sobre todo, las causas de beatificación “políticamente incorrectas” que Juan Pablo II se encontró sobre la mesa. Estaba, obviamente, la de Pío IX, el Papa del Syllabus, de Porta Pía y del “caso Mortara”. Sorteó las resistencias combinando la glorificación del “Papa malo” (ateniéndonos a la tenaz leyenda negra) a la del “Papa bueno” por definición. Un exorcismo que arrancó una sonrisa a los encargados de los trabajos: en efecto, sabían muy bien que la veneración de Juan XXIII por Pío IX era tal que Roncalli había previsto concluir el Concilio precisamente con la beatificación por aclamación de su predecesor decimonónico.
Venerable Marco de Aviano
El capuchino retornó en 1683 a Viena en circunstancias dramáticas: los turcos, que habían devastado todos los Balcanes y arrasado Hungría a sangre y fuego, habían llegado a asediar la capital imperial. Los 150.000 guerreros de Alá eran guiados por el despiadado Gran Visir Kara Mustafá, cuyo plan preveía la islamización de toda Europa Central. Francia, por su parte, como ya hiciera en Lepanto, traicionó a la Cristiandad: tratando de debilitar al emperador, el rey Sol había llegado a firmar pactos con los otomanos.
El ejército que debería haber liberado Viena del asedio no tenía más que 70.000 hombres, entre súbditos del Imperio, polacos guiados por el rey Juan Sobiesky, bávaros, sajones y voluntarios italianos que habían respondido a la llamada desesperada del Papa. Las tropas de la coalición no sólo eran escasas, sino que estaban paralizadas por las rivalidades entre los jefes.
La situación fue desbloqueada con prodigios de pasión y de persuasión, precisamente por el Padre Marco, enviado por el Papa, y cuyo prestigio eran inmenso no sólo entre los católicos, sino también entre las tropas protestantes.
Por indicación del capuchino, el rey de Polonia asumió el mando, y el ejército llegó a las puertas de Viena cuando la ciudad, ya en las últimas, estaba a punto de capitular. Al alba del 12 de septiembre de aquel 1683, el religioso celebró la misa sobre el Kahlenberg, la colina que está sobre la ciudad, ayudado en el altar por los reyes y los príncipes de la coalición.
Tras una inflamada predicación en una mezcla de italiano, alemán y latín, manteniendo en alto su cruz de madera, el padre Marco se hincó de rodillas rezando, mientras las tropas avanzaban al asalto. Los cristianos eran la mitad que los musulmanes, y a diferencia de éstos, no contaban con artillería. Pero el ímpetu con que se lanzaron contra los soldados de Alá arrasó la defensa.
La batalla fue violentísima y breve. En pocas horas 20.000 turcos cayeron sobre el terreno y los sobrevivientes huyeron, abandonando todo, incluido el harén “móvil” del Gran Visir. La amenaza islámica en el corazón de Europa había sido desbaratada. El padre Aviano estuvo entre los primeros que entraron en la Viena liberada y celebró el “Te Deum” en la catedral.
En los años siguientes, su incansable actividad fue decisiva para la liberación de Budapest y de Belgrado. Si los turcos fueron acosados y rechazados hacia Estambul, el mérito fue de la “Liga Santa”, en la que el capuchino había logrado que entrara también Venecia, siempre ambigua y vacilante.
Cuando murió, en su pobre celda lloraban, de rodillas, el emperador y su mujer: quisieron que el humilde religioso a quien se debía la salvación de Europa, fuese enterrado en su mausoleo.
Las trágicas circunstancias hicieron de Marco de Aviano un extraordinario alentador de heroísmos guerreros, un habilísimo diplomático por la causa de la unidad cristiana. Pero en realidad era un hombre de paz, completamente ajeno a las intrigas políticas: un fraile que vivió fiel a la regla franciscana y que ejercitó hasta el final las virtudes cristianas, siempre nostálgico de la paz del claustro.
Bueno y generoso, alejado de todo fanatismo y contrario a toda crueldad, siempre se afanó en salvar vidas, por mitigar la suerte de los prisioneros, por exhortar al perdón, a la misericordia, a la búsqueda del acuerdo. Si intervino en la guerra no fue más que en legítima defensa de una cristiandad agredida. Se lanzó a aconsejar planos estratégicos a los generales y tratados a los gobernantes, pero siempre y sólo para alejar la amenaza mortal de la Europa cristiana.
No fue por casualidad que los musulmanes de su tiempo le miraran con respeto, cuando no con admiración. Sólo el fundamentalismo reciente lo transformó en un “enemigo”, hasta el punto de obligar a medidas extraordinarias de seguridad cuando, dentro de pocos meses, el Papa lo elevará, “urbi et orbi”, a la gloria de los altares.+
Muslims claim that Jesus Christ and all the Old Testament prophets were true Muslims
The followers of Muhammad show outward respect and devotion to Jesus Christ as well as to all of the Old Testament prophets. To show this outward respect, a Muslim writer puts an acronym after the name of Jesus Christ or one of the Old Testament prophets. The most common acronym used is 'pbuh,' meaning, "peace be upon him." It is the English meaning of the Arabic words, Allah's Salaam. Furthermore, Muslims claim that Jesus Christ and all the Old Testament prophets were true Muslims and prophets of the Lord of the Universe. On the surface, this sounds amazingly supportive of Jesus Christ and the ancient messengers of Allah. There is hardly a religion in all the world that praises these faithful servants of Allah more than Muslim believers.
Yet, in spite of all the verbal praise that Muslims heap upon the holy prophets, they are one the most vigorous opponents to their prophetic message. They disparage and attack the prophetic messages in the holy scriptures, claiming they have been corrupted by Jews and Christians. So, on the one hand, they praise the prophet’s names to the high heavens; but, on the other hand, they toss the prophet’s writings to the lowest earth. It is easy to be charmed by a Muslim’s praise of the divine prophets. With atheists, there is no danger of being disarmed. Atheists don’t believe Allah exists; therefore, they don’t believe there were any divine prophets. So, they don’t praise the prophets above any other person who gives an educated opinion. But, with Muslims, the danger exists, because they claim the Old Testament prophets were divine messengers. Yet, subvert the message itself and argue that the Old and New Testament writings don’t reflect what the prophet wrote. With respect to atheists and Muslims, the end result is the same. Both views attack the integrity of Allah’s message contained the Holy Scriptures.
Now, a person might wonder why it is necessary for Muslims to reject the writings of the true prophets of Allah. Primarily, it is because Muhammad and his message do not harmonize with Allah’s true prophets. He is like a discordant note. So, naturally, Muslims have to claim that the Old and New Testaments were corrupted and are no longer trustworthy. Because, if the Old and New Testament writings really reflect Allah’s truth, then Muhammad and his message stand opposed to the entire prophetic lineage. So, it is vital to Muslim apologists to subvert the message of the ancient witnesses. Their goal is more effectively accomplished by effusive praise of the prophets. (more...)
Thursday, November 8, 2007
L'Islam vu par le Cardinal Pie
À l'époque qui nous occupe, (à la fin du 8e siècle) il avait paru sur la terre, depuis bientôt deux siècles, un fils de Bélial, à qui il était réservé de tenir en haleine la chrétienté tout entière durant une période de plus de mille ans. L'islamisme, «religion monstrueuse» dit Bossuet dans son beau panégyrique de saint Pierre Nolasque, «religion qui se dément elle-même, qui a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes», et j'ajouterai, pour tout attrait ses excitations voluptueuses et ses promesses immorales, l'islamisme avait déjà envahi d'immenses contrées. Que le schisme, que l'hérésie tombassent sous ses coups, c'était un grand malheur sans doute: toutefois c'est la loi de l'histoire et c'est un ordre accoutumé de la Providence que, pour punir les peuples pervers, Dieu se sert d'autres peuples plus pervers encore; et cette mission, l'islamisme en était investi pour longtemps.
Mais voici que la chrétienté n'est plus seulement atteinte dans ces races dégénérées qui ont décomposé en elles le principe de la vie par l'altération du principe de l'unité et de la vérité: c'est l'Europe dans ses parties les plus vitales, c'est le cœur même des races catholiques qui est menacé; c'est le boulevard de l'orthodoxie, c'est le royaume très chrétien, c'est la France, et, derrière le rempart de la France, c'est la métropole du christianisme, c'est le monde entier qui aura tout à redouter de ces nouveaux et implacables barbares. Ils ont franchi les Pyrénées, ils se sont rués sur nos belles provinces du midi, ils ont étanché la soif de leur glaive dans le sang de nos frères orthodoxes, ils s'avancent jusque dans la Bourgogne; leurs traces sont marquées par le feu et par le sang, mais surtout par la profanation et l'impiété. Nul bras n'ose entreprendre de les arrêter...
(Cardinal Pie, le 8.11.1859, dans la cathédrale de Nantes)
Source: Points de vue sur l'Islam
Tuesday, November 6, 2007
Islam e Cristianità - Aggressori e aggrediti
Nella storia più che millenaria dei rapporti tra l'islam e la cristianità è sempre stata quest'ultima a dover difendersi dall'assalto musulmano. Il tentativo dell'islam di invadere le nazioni cristiane è pressocchè simultaneo rispetto alla nascita della fede in Allah. Sin dal VII secolo, i popoli cristiani patirono un terribile confronto che ha avuto soste, ma che non ha avuto mai termine.
Aggressori e aggrediti
tratto da: Il Cerchio, settembre-ottobre 2002, p. 64-65.
Viviamo in tempi caratterizzati, fra l'altro, da un insopportabile «meaculpismo», come autorevolmente è stata definita la propensione da parte del ceto intellettuale occidentale, ma non senza ricadute «popolari», a denigrare, in occidente, l'Occidente, la sua storia e le sue radici culturali, ostentando vergogna per esse. Sembra quasi che i nostri nonni fossero tutti belve assetate di sangue (al che vien fatto di chiedersi donde verrebbero gli agnellini che noi invece oggi saremmo).
Uno dei temi su cui più frequentemente si esercita tale tendenza è quello delle crociate, che, insieme con l'evangelizzazione delle Americhe, sarebbero esempio del colonialismo culturale proprio dell'Occidente - ed in particolare della sua anima, il cristianesimo - e della sua aggressività. L'islam viene comunemente presentato, dai «meaculpisti» di professione, come il soggetto ingiustamente aggredito. Qualcuno giunge anche ad adombrare che in fondo ciò che è accaduto e sta accadendo nel mondo in termini di terrorismo islamico sia una sorta di reazione - beninteso, dicono i «nostri», esagerata, eccessiva, e qualcuno è tanto coraggioso da spingersi a dichiararla inammissibile - a quel lontano episodio ed al perdurare dello spirito che lo animò.
Appare dunque non inutile ricordare, sia pure sinteticamente, i fatti, per capire chi sia stato storicamente l'aggressore e chi l'aggredito, pur sapendo che come sono inammissibili le «leggende nere», sono inammissibili anche le «leggende rosa»; e che bene e male purtroppo si confondono e coesistono in ogni vicenda storica, che presenta sempre luci ed ombre. Tuttavia, ben tenendo presenti questi limiti, e non chiedendo alla storia di spiegare più di quel che può - ma neanche di meno -, alla scuola di un grande storico belga, Henri Pirenne (1862-1935), che. scrive quando la questione islamica è tutt'altro che attuale, e cioè nel 1935, e quindi senza essere sospettabile di animosità particolare. vediamo chi «ha cominciato», almeno per decidere se le crociate siano state un atto d'aggressione o di difesa.
Tutti sanno che Maometto muore nel 632 d. C. e che fin da subito la comunità politico-religiosa da lui fondata si espande militarmente, conquistando quel che restava dell'impero persiano e poi tutto il Nord Africa, muovendo dalla Penisola Arabica. Subito dopo, tocca all'Europa cristiana, alla cristianità seppure ancora non compiutamente tale, aggredita dal mare e via terra seguendo la «pista» delle tre penisole, quella iberica, quella italica, quella balcanica.
La sequenza di date è impressionante. Tra il 711 ed il 713 viene conquistata la Spagna, che solo nel 1492, anno in cui si conclude la Reconquista, verrà liberata. In Francia nel 720, viene conquistata Narbonne, nel 725 tocca a Carcassonne e Autun, nel 735 Arles, nel 737 Avignone. In Italia, già nel 650 l'onda si abbatte per la prima volta sulla Sicilia. Nell'806, viene conquistata Pantelleria, ed i monaci che vi si trovarono vengono venduti come schiavi (poi riscattati da Carlo Magmo); nell'810 la Sardegna: nell'8l2, vengono saccheggiare Lampedusa, Ponza ed Ischia; nell'831 è presa Palermo; nell'838, Brindisi e Taranto; nell'840, Bari; nell'841, Ancona e la costa Dalmata; nell'843, Messina; nell'846, risalendo il Tevere gl'islamici entrano a Roma e distruggono le basiliche di S. Paolo e S. Pietro provocando un fremito d'orrore in tutto l'occidente cristiano, il che indurrà ad edificare le mura leonine, che cinsero il Vaticano (Civitas Leonina, 848-852); nell'878, viene conquistata dopo strenua ed eroica resistenza Siracusa; nell'883, Montecassino e l'abbazia vengono saccheggiate e distrutte. Si potrebbe continuare ancora a lungo, ma sarebbe noioso. Un solo quesito, attesa la data di nascita dell'islam: chi l'aggredito, chi l'aggressore?
Riesce inoltre difficile continuare a nutrire complessi di colpa troppo intensi se poi si pone mente alla sorte delle popolazioni che vivevamo lungo le coste non islamizzate del Mediterraneo. Coste per secoli desertificate, e spesso ridotte ad acquitrini paludosi, a causa del terrore per le incursioni islamico-saracene, terrore che spinse chi le popolava (e coltivava) ad abbandonarle e a rifugiarsi in un interno impervio, montagnoso ed arido (che una - e sottolineo una - delle cause del «sottosviluppo» del Sud d'Europa sia proprio questa?). E come effetto di tali incursioni, a centinaia di migliaia si contano gli uccisi e stuprati, ma soprattutto rapiti - specialmente se donne e bambini - per essere ridotti in schiavitù e trasformati in «giannizzeri», eunuchi e concubine nell'harem, oltre che rivenduti in un turpe commercio.
«Con l'islam un nuovo mondo entra nel bacino del Mediterraneo [...]. Il mare, che era stato fino allora il centro della cristianità, ne diviene 1a frontiera. L'unità mediterranea è rotta». Così Pirenne. Il Mediterraneo viene «chiuso» e per «riaprirlo», anche al fine di consentire i pellegrinaggi in Terra Santa, furono predicate e promosse le crociate. Fallite queste, per aggirarlo si «apri» l'Atlantico, destinato a diventare il bacino di una Magna Europa, come Ionio e Tirreno lo furono della Magna Grecia.
Ricordare tutto questo è indispensabile. Certo non per coltivare sogni di rivincita o rinfocolare aggressività occidentali. Piuttosto per restituire alla storia un pò di verità - unica carità che le è concessa - e tramite questa promuovere tra le nostre genti un riequilibrio psicologico che c'induca ad essere pietosi verso il nostro passato, come quel figlio di Noè che coprì le vergogne del padre addormentatosi scompostamente perché ubriaco. Pietosi, ma anche orgogliosi di quel che di buono i nostri padri ci hanno lasciato - ed è tanto -, ed in primo luogo dei valori di fondazione del mondo da essi «creato»: il cristianesimo, la centralità della persona, la libertà di vivere la propria fede e la propria cultura.
E' indiscutibile: non ha cominciato l'Occidente, che, pur con tutte le sue colpe ed i suoi difetti, nei confronti dell'islam è aggredito e non aggressore. Anche oggi. Questo non ci autorizza a nient'altro che a ricordare, come insegna Nicolàs Gòmez Dàvila (1913-1994), che «le civiltà muoiono per l'indifferenza verso i valori peculiari che le fondano», e che oggi il «meaculpismo» promuove tale indifferenza quando non l'ostilità verso i valori occidentali, in un clima di relativismo culturale che conosce un solo assoluto: «tutto può andare bene, tranne l'Occidente.
Fonte: Storialibera.it
Guerra santa. Quell'anno in cui i musulmani presero Roma
Sandro MAGISTER
Pochi lo sanno, ma è accaduto. Un libro uscito negli Stati Uniti offre per la prima volta al grande pubblico i maggiori documenti sulla teoria e la pratica del jihad. Da Maometto a oggi. Un libro uscito da poco negli Stati Uniti alza il velo su un aspetto capitale dell'islam, di cui troppi sanno poco e male: il jihad, la guerra santa.
E' un aspetto su cui largamente si tace, come fosse un tabù. Anche tra i cristiani, nella memoria diffusa che si ha della storia della Chiesa, vi sono a questo proposito dei grossi buchi neri.
Un esempio? Molti ricordano cosa avvenne a Roma, nella basilica di San Pietro, la notte di Natale dell'anno 800. Finita la messa, papa Leone III pose solennemente sul capo di Carlo Magno la corona del Sacro Romano Impero.
La basilica di San Pietro brillava quella notte di stupefacente fulgore. Pochi anni prima il predecessore di Leone III, papa Adriano I, aveva ricoperto l'intero pavimento del presbiterio con lastre d'argento, aveva rivestito le pareti con lastre d'oro e cinto il tutto con una balaustra d'oro del peso di 1.328 libbre. Aveva rifatto in argento i cancelli del presbiterio e appeso all'iconostasi sei immagini anch'esse d'argento raffiguranti Cristo, Maria, gli arcangeli Gabriele e Michele, i santi Andrea e Giovanni. Infine, perché tale splendore fosse pienamente visibile a tutti, aveva innalzato un candelabro in forma di grande croce su cui brillavano le luci di 1.365 candele.
Meno di mezzo secolo dopo, però, di tutto questo non restò più nulla. E su che cosa avvenne regna oggi un generale vuoto di memoria, tra i cristiani.
Avvenne che nell'aprile dell'anno 846 degli arabi musulmani, arrivati con una flotta alle foci del Tevere, raggiunsero Roma, la invasero, la saccheggiarono e portarono via dalla basilica di San Pietro tutto l'oro e l'argento che conteneva.
E non si trattava di un attacco occasionale. Dall'anno 827 gli arabi avevano conquistato la Sicilia, che mantennero sotto il loro dominio due secoli e mezzo. Roma era seriamente sotto minaccia ravvicinata. Nell'847, l'anno dopo l'assalto, il nuovo papa Leone IV iniziò la costruzione di mura attorno a tutta l'area vaticana, alte 12 metri e munite di 44 torri. Le completò in sei anni. Sono le mura "leonine" di cui restano ampi tratti. Ma pochissimi oggi sanno che esse furono erette per difendere la sede di Pietro dal jihad musulmano. E tra chi lo sa molti tacciono per pudore. "Non muri ma ponti", è lo slogan che oggi è di moda.
Il libro che alza il velo sulla guerra santa islamica ha per titolo "The Legacy of Jihad", l'eredità del jihad, ed è curato da Andrew G. Bostom.
E' un libro essenzialmente fatto di documenti, molti dei quali per la prima volta tradotti in inglese dall'arabo o dal parsi, oppure ripresi da libri di orientalisti di difficile consultazione per il grande pubblico.
I documenti spaziano dal secolo di Maometto, il settimo, fino al ventesimo. E comprendono sia testi classici sul tema del jihad di teologi e giuristi musulmani, sia resoconti di guerra di testimoni antichi e moderni, musulmani e non, sia analisi del jihad ad opera di studiosi di vario orientamento.
Corredano il libro miniature che raffigurano momenti di jihad nella storia, e mappe geografiche che documentano l'espansione militare dell'islam secolo dopo secolo, dal settimo all'undicesimo. Ogni mappa è corredata da un sommario che elenca gli atti di guerra in ciascuna regione.
Ad esempio, in quel nono secolo in cui Roma fu presa d'assalto e la Sicilia conquistata, le armate musulmane occuparono in Italia Bari e Brindisi per trent'anni, Taranto per quaranta, Benevento per dieci; attaccarono più volte Napoli, Capua, la Calabria, la Sardegna; misero a ferro e fuoco l'abbazia di Montecassino; fecero scorrerie anche nell'Italia del Nord, arrivando dalla Spagna e valicando le Alpi.
Dall'imponente documentazione raccolta da Bostom un dato emerge con chiarezza: il jihad non è una delle forme in cui si attuò, in particolari luoghi e momenti, l'espansione dell'islam, ma è un'istituzione connaturata al sistema musulmano stesso, è una sua obbligazione religiosa permanente.
Una cosa che stupisce è che a pubblicare in Occidente questa documentazione sia un non specialista. Bostom è medico epidemiologo e vive a Providence nel Rhode Island. Ma forse proprio questa sua non appartenza all'accademia degli orientalisti e islamologi lo rende più libero dai tabù che imbavagliano molti di questi.
Contro il proislamismo di larga parte della cultura occidentale hanno scritto pagine graffianti, tra altri, Jacques Ellul, Oriana Fallaci e Bat Ye'or, quest'ultima grande specialista della condizione subordinata imposta sistematicamente dall'islam ai sudditi non musulmani dei paesi conquistati, nonché autrice nel 2005 di un saggio dal titolo eloquente: "Eurabia. The Euro-Arab Axis".
Una tesi centrale dei tre autori citati è che l'islam sia un tutto coerente e irreformabile nei suoi elementi essenziali, e che la libertà e i diritti della persona non vi possano appartanere.
Ma anche un autore che non condivide tale tesi ed è anzi uno dei più decisi assertori della compatibilità tra islam e democrazia - Bernard Lewis, uno dei più autorevoli islamologi viventi, professore a Princeton - ha criticato severamente le tendenze proislamiche in voga tra intellettuali e politici occidentali, persino ebrei.
In un saggio dal titolo "The Pro-Islamic Jews", Lewis ha riscostruito come l'idea di un'antica Spagna musulmana tollerante con cristiani ed ebrei - oggi evocata da molti come un'età dell'oro - sia un mito romantico del diciannovesimo secolo, creato proprio da ebrei in polemica con i cristiani.
Anche l'adesione della moderna Turchia al campo occidentale e il suo sostegno allo stato d'Israele hanno indotto una diffusa reticenza sui massacri da essa compiuti nel secolo scorso dei cristiani armeni.
E ancora, a incoraggiare il generale silenzio sulle guerre sante di ieri e di oggi - come anche sulla schiavitù tuttora praticata dai musulmani in talune regioni, sugli assalti a chiese e sulle uccisioni di cristiani - ci sono la ricerca di un buon vicinato con la crescente immigrazione musulmana in Europa, la paura di attacchi terroristici, la volontà di mostrarsi estranei allo schema dello "scontro di civiltà".
Ma di queste reticenze e silenzi dell'Occidente sono vittime, tra i musulmani, proprio coloro che coraggiosamente si battono per riformare la fede islamica e conciliarla con la democrazia e la modernità.
Meno male che, a non lasciarli soli, arrivano libri come questo di Andrew G. Bostom.
Fonte: Guerra santa. Quell'anno in cui i musulmani presero Roma
tratto da: chiesa.espressonline.it, 5.1.2006.
Muslims sack the capital of the Christian Church
On August 10th 846 the marquis Adalbertus of Tuscany, who watches over Corsica, writes to the pope to warn him of a near attack of the Arabs. But it is too late.
On August 28th 846 the Arabs arrived at the mouth of the river Tiber and they sailed towards Rome.
From Civitavecchia an army started the descent by land in direction of Rome.
Another army began the march from Portus and Ostia.
They didn't succeed in entering the enclosing walls, validly defended by the Romans, but the churches of St. Peter and St. Paul, outside the boundaries, were violated by the Arabs.
Uselessly Saxons, Longobards, Frisians and Franks defended St. Peter up to the last man. The Arabs brought away all the treasures of St. Peter, they tore the silver leaves of the doors, the gold foils of the floor of the confession, devastated the bronzy crypt of the apostle, took the gold cross that stood on the grave of Peter. They laid waste all the churches of the district Suburb.
The marquis Guy of Spoleto, arrived to help Rome, succeeded in defeating the Arabs who withdrew partly towards Civitavecchia and partly towards Fondi, following the Appian Way.
The Arabs' passage, in flight, provoked ruin and devastation in all the Roman country.
At Gaeta the Longobard army clashed again with the Arabs. Guy of Spoleto found himself in serious difficulties, but the Byzantine troops of Cesarius, son of Sergius, magister militum in Naples, arrived in time.
In November of 846 a storm provoked numerous damages to the ships of the Arabs, some of which were shipwrecked on the coast.
The pope Leo IV, in consequence of the attack against St. Peter, in 848 undertook the construction of the Civitas Leonina to protect the Vatican hill. The enclosing walls were completed in June 27th 852.
Source: Maat.it: The Arabs attack Rome
Sunday, November 4, 2007
L'Évêque de Smyrne: Supplique pour les Chrétiens d'Europe
Monseigneur Giuseppe Germano Bernardini, o.f.m. cap., Archevêque de Smyrne (Izmir) en Turquie, a présenté son expérience de l 'islam au Synode des Évêques qui s 'est tenu à Rome en octobre 1999.
Je vis depuis 42 ans en Turquie, un pays qui est musulman à 99.9%, et je suis Archevêque de Smyrne - Asie Mineure - depuis 16 ans. Le sujet de mon intervention est par conséquent évident : le problème de l' islam en Europe, actuellement et dans le proche avenir. Je remercie Mgr. Pelâtre et tous ceux qui ont déjà parlé sur ce sujet au cours de cette assemblée prestigieuse, me dispensant ainsi de longues analyses et de leurs interprétations respectives.
Mon intervention a surtout pour but d'adresser une humble demande au Saint-Père. Afin d'être bref et clair, je ferai tout d'abord référence à trois cas qui, compte tenu de leur provenance, ont, selon moi, réellement eu lieu.
1 - Au cours d'une rencontre officielle sur le dialogue islamique et chrétien, un personnage musulman influent, s'adressant aux participants chrétiens, affirme avec calme et sûreté : «Grâce à vos lois démocratiques, nous vous envahirons : grâce à nos lois religieuses, nous vous dominerons».
Il faut y croire, car la «domination» a déjà commencé avec les pétrodollars, utilisés non pas pour créer du travail dans les pays pauvres d'Afrique du Nord ou du Moyen-Orient, mais pour construire des mosquées et des centres culturels dans les pays chrétiens de l'émigration islamique, y compris Rome, centre de la Chrétienté. Comment ne pas voir dans tout cela, un programme d'expansion et de reconquête bien précis?
2 - A l'occasion d'une autre rencontre entre islamiques et chrétiens, organisée comme d'habitude par les chrétiens, un participant chrétien demanda publiquement aux musulmans présents pour quelle raison ils n'organiseraient pas eux aussi, au moins une fois, des rencontres de ce genre. L'immanquable musulman influent présent, répondit textuellement: «Pourquoi devrions-nous le faire? Vous n'avez rien à nous apprendre et nous n'avons rien à apprendre».
Un dialogue entre sourds ? C'est un fait que des termes tels que «dialogue», «justice», «réciprocité», ou des concepts tels que «droits de l'homme», «démocratie», ont pour les musulmans une signification complètement différente par rapport à la nôtre. Mais, je crois que ceci est désormais reconnu de tous.
3 - Dans un monastère catholique de Jérusalem il y avait - et peut-être y est-il encore - un domestique arabe musulman. Une personne gentille et honnête, qui était très appréciée par les religieux, mais le contraire n'était pas vrai. Un jour, avec un air triste, il leur dit: «Nos chefs se sont réunis et ils ont décidé que tous les «infidèles» doivent être assassinés, mais vous, n'ayez pas peur, car c'est moi qui vous tuerai sans vous faire souffrir».
Nous savons tous qu'il faut faire une distinction entre la minorité fanatique et violente et la majorité tranquille et honnête, mais celle-ci, suite à un ordre donné au nom d’Allah ou du Coran, marchera toujours unie et sans hésitation.
D'ailleurs, l'histoire nous apprend que les minorités décidées, parviennent toujours à s'imposer aux majorités silencieuses et renonciatrices.
Il serait ingénu de sous-estimer ou, pire encore, de sourire de ces trois exemples que j'ai indiqués; il me semble qu' il faudrait réfléchir sérieusement sur leur dramatique enseignement.
Mon attitude n'est pas pessimiste, malgré les apparences. Le chrétien ne peut pas être pessimiste, car le Christ est ressuscité et vivant ; Il est Dieu, à la différence de tout autre prophète ou considéré comme tel. La victoire finale sera du Christ, mais les temps de Dieu peuvent être longs, et normalement ils le sont. Il est patient et Il attend la conversion des pécheurs : entre-temps, Il invite toutefois l'Église à s'organiser et à travailler pour accélérer la venue de son Royaume.
Je voudrais maintenant faire une proposition sérieuse au Saint-Père : organiser au plus tôt, si ce n’est un Synode, au moins un Symposium d’évêques et d’agents de la pastorale parmi les immigrés, avec une référence particulière aux islamiques, en l’étendant aux représentants de l’église réformée et aux orthodoxes. Son organisation pourrait être confiée à la CCEE, qui a une longue expérience dans ce secteur, en collaboration avec la KEK.
Le symposium devrait servir à approfondir d’une manière collégiale le problème des islamiques dans les pays chrétiens, et trouver ainsi une stratégie commune pour y faire face et le résoudre de façon chrétienne et objective. Il est indispensable de se trouver d’accord sur les principes, même si leur application variera selon les lieux et les personnes. Rien n’est plus néfaste que le désaccord sur les principes !
Je conclus avec une exhortation qui m'a été suggérée par l'expérience: que l'on ne concède jamais aux musulmans une église catholique pour leur culte; ce serait pour eux la preuve la plus certaine de notre apostasie.
(Traduction du Synode des Évêques et de la Salle de Presse du Saint-Siège)
l 'Osservatore Romano, 26 octobre 1999. – N. 43
Tuesday, October 30, 2007
Mohammed - the Fulfillment of Biblical Prophecy?
Source and further reading:
Study to Answer.Net:
A Resource for a Reasoned, Respectful, and Ready Defence of the Christian Faith
«If Muslims were to shed their yoke of ignorance...»
Monday, October 29, 2007
San Francesco e l'Islam
Un santo realista, un “folle di Dio” con i piedi ben piantati per terra. La figura del santo patrono d’Italia “purificata” dal pacifismo che lo circonda. Amante del dialogo, ma per la conversione degli infedeli.
[Da «il Timone» n. 61, marzo 2007]
Quando si parla di rapporti tra mondo cristiano e mondo islamico, capita spesso che qualcuno citi il caso di san Francesco (1181-1226), più o meno in questi termini: «Si dovrebbe testimoniare il Vangelo come fece Francesco, in sottomissione e silenziosa discrezione; e quindi non si dovrebbe cercare di convertire nessuno, come san Francesco non voleva che si facesse». Ebbene, è corretta una simile visione?
In parole...
Innanzitutto va detto che questa interpretazione del pensiero e dell’azione del santo di Assisi deriva in particolare da un libro notevole e influente, scritto dallo storico Giovanni Miccoli e intitolato Francesco d’Assisi. Realtà e memoria di un’esperienza cristiana. In quel volume Miccoli sostenne che Francesco voleva «realizzare una presenza cristiana priva di ogni ricerca di proselitismo». In altri termini, il santo assisiate avrebbe visto ogni tentativo di annuncio attivo del Vangelo - orientato cioè alla conversione del non cristiani — come una sorta di “ingerenza”, persino di violenza e di contrario allo spirito evangelico, intriso di sottomissione, rinuncia, povertà “assoluta” e testimonianza “pura”.
Per sostenere questa tesi Miccoli cita la Regola non bollata (cioè non approvata dalla Chiesa, stesa tra il 1209 e il 1221) che al capitolo 16 recita: «I frati che vanno tra gli infedeli [e in specie tra i saraceni] possono vivere e comportarsi con loro, spiritualmente, in due modi. Un modo è che non suscitino liti o controversie, ma siano soggetti, per amore di Dio, a ogni umana creatura, e confessino di essere cristiani». Queste parole, certamente di Francesco, sembrano confermare quella lettura; tuttavia è necessario proseguire nel testo di quello stesso capitolo 16, che aggiunge immediatamente: «Un altro modo è che, quando vedessero che piace al Signore, annuncino la parola di Dio, affinché quelli credano in Dio onnipotente, Padre e figlio e Spirito Santo, creatore di ogni cosa, il Figlio redentore e salvatore; e siano battezzati e diventino cristiani, poiché chi non nasce dall’acqua e dallo Spinto Santo, non può entrare nel regno di Dio».
Si tratta di parole molto chiare, che indicano al frate francescano (e, potremmo dire, al cristiano in genere) la necessità di cogliere le occasioni propizie per testimoniare esplicitamente e “attivamente” la buona novella, «affinché quelli credano in Dio onnipotente, Padre e Figlio e Spirito Santo, creatore di ogni cosa, il Figlio redentore e salvatore». Sono contenuti essenziali del Cristianesimo, ovvero la Trinità e la figura umana e divina di Cristo, morto e risorto per la salvezza dell’umanità. E si badi che si tratta proprio di quei punti che l’Islam nega esplicitamente: per l’Islam, infatti, Allah è Dio uno e indivisibile e l’idea cristiana della Trinità è un’assurdità quando non, peggio, una forma di idolatria, ovvero di abominio da distruggere. Ed è poi vero che il Corano riconosce in Cristo un grande profeta, precursore di Maometto; ma appunto Cristo, in quest’ottica, non è nient’altro che un uomo, per quanto eccezionale (inferiore comunque a Maometto), e non può in alcun modo essere Dio. Tanto è vero che, per il Corano, Cristo non è mai morto in croce e quindi non è neppure — e tantomeno — resuscitato.
Sono punti essenziali di diversità tra Cristianesimo e Islam, che Francesco mostra di conoscere esattamente e di voler mettere a fuoco nell’attività missionaria del suoi frati. Lo scopo, poi, non è “semplicemente” di testimonianza, o meglio lo è nel suo senso più pieno, orientato cioè alla salvezza delle anime, che devono essere «battezzate» e «diventare cristiane», il che significa necessariamente staccarsi dal corpo dell’Islam per entrare nel corpo storico e mistico della Chiesa e di Cristo. Mi paiono parole nette, che smontano da sé il preteso “irenismo” a oltranza di Francesco: il santo di Assisi sperava e voleva che anche i musulmani (come gli altri infedeli) conoscessero la Grazia di Cristo, quella stessa che lo aveva toccato da giovane e gli aveva radicalmente trasformato l’esistenza.
Come ha ben scritto Claudio Leonardi, uno del massimi esperti mondiali della mistica cristiana medievale, «Francesco non ha timore di fare proseliti: il proselitismo, cioè la conversione e l’ingresso dell’infedele tra i fedeli di Cristo e della Chiesa, è nella logica della predicazione e di ogni azione apostolica, anche se la conversione resta solo opera divina».
...e opere
Quanto abbiamo visto sin qui riguarda soprattutto il pensiero e la parola scritta di Francesco. Tuttavia egli si pose questo problema anche dal punto di vista pratico: volle cioè portare personalmente il Vangelo in terra islamica.
Dopo un paio di tentativi falliti, fu nel 1219 che il santo riuscì a entrare in contatto con gli infedeli, durante la quinta crociata. L’episodio è a volte liquidato come un evento minore e secondario della sua biografia, perché Francesco rimase solo qualche giorno presso i musulmani, senza peraltro ottenere un particolare successo.
Ma, anche in questo caso, è una lettura riduttiva: che un uomo del Medioevo provi per tre volte a superare il “confine”, geografico e spirituale, che divideva la Cristianità del tempo dal mondo islamico; che lo faccia a suo rischio e pericolo, accompagnato solo da un altro frate (di nome Illuminato); che cerchi di parlare — e ci riesca! — con il sultano d’Egitto, ovvero con l’autorità somma del potere islamico in quel momento; e infine che torni indietro sano e salvo... beh, son tutte cose eccezionali, non secondarie, come scrisse Dante nella Divina Commedia (Paradiso 11,100-105).
Orbene, che cosa accadde? Nel giugno del 1219 Francesco e Illuminato raggiunsero il campo dei crociati che assediavano Damietta da qualche tempo. Tra la fine di quell’estate e l’inizio dell’autunno, i due frati attraversarono la “terra di nessuno” che divideva i crociati dai musulmani e chiesero di parlare con il sultano al-Kamil, discendente del grande Saladino. Sul fatto che i due si incontrarono e che, tramite interpreti, si parlarono, nessuno oggi dubita più.
Ciò che divide gli storici è semmai il contenuto del loro discorso, che diventa altamente dibattuto per il suo valore simbolico.
Non abbiamo nessun ricordo personale del santo, né cronache musulmane che ci riportino i contenuti di quel celebre incontro. Tuttavia, tra le fonti di parte cristiana ne spicca una contenuta nella biografia di Francesco scritta da san Bonaventura alcuni decenni dopo e che riporta la testimonianza di frate Illuminato. Eccone un passo decisivo. Il sultano si sarebbe così rivolto al santo: «Il vostro Dio ha insegnato nei suoi Vangeli che non si deve rendere male per male... Quanto più dunque i cristiani non devono invadere la nostra terra?». Niente male: al-Kamil usò il Vangelo come strumento per accusare i crociati di violenza e aggressione. Ma sentiamo la replica di Francesco: «Non sembra che abbiate letto per intero il Vangelo di Cristo nostro Signore. Altrove dice infatti: “Se un tuo occhio ti scandalizza, cavalo e gettalo lontano da te”..., con il che ci volle insegnare che dobbiamo sradicare completamente... un uomo per quanto caro o vicino — anche se ci fosse caro come un occhio della testa — che cerchi di toglierci dalla fede e dall’amore del nostro Dio. Per questo i cristiani giustamente attaccano voi e la terra che avete occupato, perché bestemmiate il nome di Cristo e allontanate dal suo culto quelli che potete. Se pero voleste conoscere il creatore e redentore, confessarlo e adorarlo, vi amerebbero come loro stessi».
Insomma, in un colpo solo Francesco difese l’opera del crociati e propose al sultano la conversione. È vero che questo dialogo non è direttamente attribuibile a Francesco; tuttavia è l’unico resoconto disponibile di un testimone oculare, frate Illuminato, e non c’é un motivo specifico per non utilizzarlo, sia pure con cautela.
Il Francesco che emerge è un santo eccezionale, che brucia dal desiderio di testimoniare in parole e opere la verità di Cristo e del suo Vangelo; e che si espone personalmente alla violenza e alla morte per suo amore. Sempre secondo le fonti cristiane, in effetti, Francesco propose al sultano anche un “giudizio di Dio” con i sufi islamici presenti: ovvero li sfidò ad affrontare i carboni ardenti per dimostrare la veridicità delle rispettive fedi. Ma quelli rifiutarono, e tra di loro vi fu forse un certo Fakhr al-Farisi, celebre consigliere del sultano, sulla cui tomba è scritto che ebbe «un famoso caso con un monaco cristiano».
Sappiamo anche che a quel punto Francesco propose di affrontare da solo la prova del fuoco, ma il sultano si oppose. Il santo poté quindi predicare ai musulmani, ma — sembra — senza ottenere successo. Tornò quindi al campo crociato e poi in Italia.
Conclusioni
Francesco sapeva che i musulmani negano la divinità di Cristo, “bestemmiando” — tecnicamente parlando, non moralmente — il suo nome. Per questo si adoperò in parole e opere perché divenissero cristiani. Anche in questo caso, dunque, Francesco e il perfetto cavaliere di Dio. Pacifico, ma non pacifista. Amante, ma non succube. Innamorato di Dio, e non delle lodi del mondo.
Bibliografia
La letteratura francescana, a cura di Claudio Leonardi, 4 voll., Fondazione Lorenzo Valla, 2004.
M. Meschini, Le crociate di Terrasanta, I Quaderni del Timone, Ed. Art, 2006.
Giovanni Miccoli, Francesco d’Assisi. Realtà e memoria di un’esperienza cristiana, Einaudi, 1991.
Ricorda
«Francesco d’Assisi è il prodotto più rappresentativo ed ortodosso della Chiesa delle crociate (...) Non è affatto il personaggio che generalmente ci viene presentato adesso. Non era il precursore dei teologi della liberazione. Né tantomeno fu l’araldo dl un cristianesimo dolciastro, melenso, ecologico-pacifista: il tipo che ride sempre, lo scemo del villaggio che parla con gli uccellini e fa amicizia con i lupi».
(Franco Cardini, in Vittorio Messori, Pensare la stona. Una lettura cattolica dell’avventura umana, Sugarco, 2006, pp 164-165).
© il Timone - (Contro la leggenda nera)
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Saturday, October 27, 2007
Blessed Mark of Aviano, the Crusader friar of Habsburg Austria
On 27 April 2003, Pope John Paul II beatified Rev Fr Mark of Aviano OFMCap (1631-99). The ceremony occurred without any world-wide protest from Muslims, and certainly nothing of the sort that accompanied the considerably more innocuous recent commentary of Pope Benedict XVI at Regensburg.
Mark of Aviano was a Capuchin friar, born Carlo Domenico, in Aviano in the Republic of Venice. So keen was his zeal that, at the age of sixteen, he went to Crete – where the Venetians were then at war with the Muslim Ottoman Turks – to offer himself to defend the island.
Christendom was in constant danger of being overwhelmed by the Muslim Turks, and the Protestant Reformation had simply weakened the defences. Moreover, Catholic Christendom was fighting, now, on two fronts against both Muslim and Protestant and might, at any time, be swept away altogether. Particular determination, tenacity and courage was now needed more than ever from the defenders of Christendom. Fortunately, courage was not lacking.
Vienna besieged
In September 1529, after defeating the Hungarians at the Battle of Mohács, the Ottoman Turks and their allies laid siege to Vienna – the famous “Siege of Vienna” of 1529. After a tremendous struggle the Austrians, under the seventy-year-old Count Nicholas von Salm, were finally victorious, although Salm himself was killed during the siege.
On 7 October 1571, the Ottoman Turks had seized the opportunity to launch a vast fleet to conquer as much of Christendom as they could. Almost miraculously, they were defeated at Lepanto by the combined Christian fleets under the command of Grand Admiral John of Austria, the illegitimate son of the Holy Roman Emperor, Charles V.
To this was added the prayers of Christendom since the pope, St Pius V, had ordered a Christendom-wide Rosary prayer campaign for victory. Later, at the “Battle of Vienna” of 1683, King Jan (John) III Sobieski of Poland, also accompanied by Christendom-wide praying of the Rosary, delivered Vienna and Christendom once again from the Muslim Ottoman Turks.
Mark of Aviano, knowing the dangers, set out to risk martyrdom at the hands of the Turkish horde. Arriving at a Capuchin convent, he was welcomed by the superior, who, after providing him with food and rest, advised him to return home. But Mark stayed in the convent long enough to be deeply impressed by their way of life and – not least – by their militancy in defending the Christian faith. In 1648, he entered the novitiate of the Capuchins.
This was in the year when the Treaty of Westphalia was signed and ended the bloody and internecine Thirty Years’ War. It was the year when the Long Parliament in England passed the Vote of No Address, breaking off negotiations with King Charles I and thereby setting the scene for the second phase of the English Civil War.
One year later, Mark professed his vows. He progressed sufficiently well in the Order that in 1664 he received a licence to preach throughout the Republic of Venice and other Italian states, especially during Advent and Lent. He was also given more responsibility when he was elected superior of the convent of Belluno in 1672, and of the convent of Oderzo in 1674.
Blessed Mark of Aviano
New direction
But it was in 1676 that his life took a sudden new direction. He gave his blessing to a nun who had been bedridden for some thirteen years, whereupon she was healed.
Soon his fame grew widely enough for the Emperor himself – by then Emperor Leopold I – to take note. Leopold met Friar Mark, was soon deeply impressed by him, and effectively made him one of his privy counsellors.
Around this time Mark was also appointed by the Venerable Pope Innocent XI as Apostolic Nuncio and Papal Legate. His status was now complete: he was the personal adviser of the Emperor and of the defending Catholic monarchs.
He turned his attention back to his original aim and desire: the defence of a free Christendom from Islam. A passionate and eloquent preacher, he used his skills to great advantage in keeping and maintaining unity among the Holy League armies of Austria, Poland, Venice, and the Papal States, by now under the leadership of King Jan Sobieski, who was called upon by the Emperor to defend Christendom from the once more invading Turk.
This time, the Turks came by land.
“Behold the Cross of the Lord!”
In the decisive Battle of Vienna of 1683, the Holy League armies succeeded in repulsing the invaders. Famously, during the fighting, Friar Mark brandished a crucifix at the Turks, shouting to them “Behold the Cross of the Lord: Flee, enemy bands!”.
From 1683 to 1689 he committed himself to the military campaign, promoting good relations between the various component forces of the Imperial army. He acted as Chaplain-General to the Army exhorting, consoling, ministering to, and leading the soldiers. In this, he mirrored the heroic life of an earlier Franciscan, St John of Capistrano, who had aided the Empire’s Hungarian general, Count Jan Hunyady, to lift the Turkish siege of Belgrade in the fifteenth century.
Friar Mark’s guidance helped bring about a second liberation of Belgrade. This time, it was in 1688, the year that, in England, the Catholic King James II was being treacherously ousted from his rightful throne by the Protestant revolutionaries.
Not only Protestants, but also the devious and scarcely Catholic King Louis XIV of France, did not hesitate to side with the Turks against the Empire; but Friar Mark and King Jan III overcame all odds. Moreover, Friar Mark, magnanimous in victory, was ever astute in protecting surrendering Muslims and prisoners from retribution. His zeal for the defence of Christendom was fierce, but always tempered by mercy and compassion.
The Ottomans fought on for another sixteen years, losing control of Hungary and Transylvania in the process, before finally giving up. Thus, the Battle of Vienna marks the end of Turkish expansion into Christendom, finalized by the Treaty of Karlowitz.
The combination of the spiritual and the temporal, the religious and the lay, pope and emperor, friar and king, had once again proved the ultimate defence for Catholic Christendom. Not for nothing did Our Lord say, mysteriously, when St Peter showed him two swords, interpreted to mean the lay and the spiritual, “It is enough” (Luke 22:38). Sobieski, doubtless influenced by Friar Mark, had entrusted all to the protection of Our Lady of Czestochowa before the battle.
Siege of Vienna
A significant date
Ironically, for us, the Battle of Vienna took place on a very significant date. It began on 11 September and ended on 12 September, the Vigil and Feast of the Holy Name of Mary, respectively. It thus began on the date that is now known to us as “9/11”, the day of the attack upon the Twin Towers in New York in 2001. The choice was doubtless deliberate on the part of the Muslim terrorists, but they did not reckon with its other resonances.
At Friar Mark’s beatification in 2003, the Pope said that Friar Mark reminds the European continent “that its unity will be more stable if it is based on its common Christian roots.” Other commentators like John Allen, of the National Catholic Reporter, feared that the beatification might lead to hostile reaction from Islam. But Italian director Renzo Martinelli, who is making a film based on the life of Mark of Aviano, countered by saying that “without him, Italian women would today be wearing the burqa.”
Legends surround Friar Mark. One says that the croissant was invented in Vienna to celebrate the defeat as a reference to the crescents on the Turkish flags. Austrian-born Marie Antoinette introduced the pastry to France in 1770.
Another legend from Vienna has the first bagel as a gift to King Jan Sobieski, to honour his victory. It was fashioned in the form of a stirrup, to commemorate the victorious charge by the Polish cavalry.
After the battle, the Austrians discovered many bags of coffee in the abandoned Turkish encampment. Using this captured stock, Franciszek Jerzy Kulczycki (a Polish merchant) opened the third coffeehouse in Europe and the first in Vienna, where, according to legend, Kulczycki and Friar Mark added milk and honey to sweeten the bitter coffee. The result was thereafter termed “cappuccino”, after the brown hood of the Capuchin friar.
Missions to Islam
Other saints also had a particular mission amongst the Muslims. St John of Matha and St Felix of Valois (of the Royal house of France) founded the Trinitarians for the ransom of Christian captives, and St Peter Nolasco founded the Order of Our Lady of Ransom after our Lady appeared to him in 1218.
Yet foolish commentators would have us believe that the view of the Church has historically been a bloodthirsty one, bent partly upon conquest and partly upon plunder, but only incidentally upon any good. It is a mendacious picture. No cognisance is given of the simple fact that the entirety of Christendom was under constant threat, at short notice, from complete conquest by the invading Ottomans whose janissaries often roamed at will, marauding, upon the hills of Austria and flat plains of Hungary.
The Church’s attitude was not only reasonable and rational, but it was also robust yet merciful, courageous yet compassionate, firm but fair. Moreover, it still remains the only solution to handling the modern threat from Islamic terrorism and extremism.
This, truly, is the legacy of Blessed Mark of Aviano. No coward, he was ready to defend Christendom with his life, by martyrdom if necessary, but he was also ever-compassionate to the defeated enemy; and, the threat neutralised, he, like St John of Matha, St Felix of Valois and St Peter Nolasco, sought to negotiate diplomatically to find peaceful solutions. Like them, he was ready to redeem captives by personal sacrifice, if necessary, neither shrinking from the duty to defend Christendom nor erring on the side of hatred or disrespect nor unwillingness to parley even with the worst of erstwhile enemies.
Not for nothing is Blessed Mark still honoured today in Austria and Venice. He and the whole Capuchin Order were, and are, especially venerated by the Habsburg imperial family, who, from the time of Blessed Mark, took as their personal chaplains the Capuchin friars, and often baptised their children with the name Markus d’Aviano.
Moreover, by imperial rescript, emperors were thereafter buried in the crypt of the Capuchin Church in Vienna. The ceremony was seen once again at the death of the Empress Zita in 1989.
The great procession halts at the door of the Capuchin church, the coffin carriage guarded by the Tyrolean Schützenkompanie, ahead of the guards, hussars, uhlans and lancers, the ranks of the nobility and the throngs of the people of Vienna. The Chamberlain knocks with his staff and the voice of a Capuchin friar calls from within “Who is there?”. The imperial and other titles are read out in full, and the voice says “We do not know her”; again the same reading takes place, but with fewer titles; finally the Chamberlain knocks and says “Zita, a sinful mortal”. The friar replies, “Then we know her!”, and opens the great door to let the procession into the imperial friary Church.
It is a ceremony wholly in keeping with the spirit of Blessed Mark. All the more fitting, then, is the large statue of Blessed Mark of Aviano, outside the Church, holding aloft the crucifix, advancing and calling on all – emperor, king or mere citizen – to yield to the Cross of Christ, the source of all peace, justice, hope and salvation for every man who ever lived or ever shall live.
Blessed Mark of Aviano, pray for us!
Source: ORIENS - Journal of the Oriens Foundation
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Friday, October 26, 2007
Islam a religion of peace?
Notice how closely Islam's inception is associated with war. From 623 to 777, a span of 154 years, there are 83 military conflicts involving the Muslims...and that is just what I have recorded here. Is Islam a religion of peace? Muslims tell me it is. But....
- 570 - Birth of Muhammad in Mecca into the tribe of Quraish.
- 577 - Muhammad's mother dies
- 580 - Death of Abdul Muttalib, Muhammad's grandfather.
- 583 - First journey to Syria with a trading Caravan
- 595 - Muhammad marries Khadijah a rich widow several years older than him.
- 595 - Second journey to Syra
- 598 - His son, Qasim, is born
- 600 - His daughter, Zainab, is born
- 603 - His daughter, Um-e-Kalthum, is born
- 604 - His daughter, Ruqayya, is born
- 605 - Placement of Black Stone in Ka'aba.
- 605 - His daughter, Fatima, is born
- 610 - Mohammed, in a cave on Mt. Hira, hears the angel Gabriel tell him thatAllah is the only true God.
- 613 - Muhammad's first public preaching of Islam at Mt. Hira. Gets few converts.
- 615 - Muslims persecuted by the Quraish.
- 619 - Marries Sau'da and Aisha
- 620 - Institution of five daily prayers
- 622 - Muhammad immigrates from Mecca to Medina, which was then called Yathrib, getsmore converts.
- 623 - Battle of Waddan
- 623 - Battle of Safwan
- 623 - Battle of Dul-'Ashir
- 624 - Muhammad and converts begin raids on caravans to fund the movement.
- 624 - Zakat becomes mandatory
- 624 - Battle of Badr
- 624 - Battle of Bani Salim
- 624 - Battle of Eid-ul-Fitr and Zakat-ul-Fitr
- 624 - Battle of Bani Qainuqa'
- 624 - Battle of Sawiq
- 624 - Battle of Ghatfan
- 624 - Battle of Bahran
- 625 - Battle of Uhud. 70 Muslims are killed.
- 625 - Battle of Humra-ul-Asad
- 625 - Battle of Banu Nudair
- 625 - Battle of Dhatur-Riqa
- 626 - Battle of Badru-Ukhra
- 626 - Battle of Dumatul-Jandal
- 626 - Battle of Banu Mustalaq Nikah
- 627 - Battle of the Trench
- 627 - Battle of Ahzab
- 627 - Battle of Bani Quraiza
- 627 - Battle of Bani Lahyan
- 627 - Battle of Ghaiba
- 627 - Battle of Khaibar
- 628 - Muhammad signs treaty with Quraish.
- 630 - Muhammad conquers Mecca.
- 630 - Battle of Hunsin.
- 630 - Battle of Tabuk
- 632 - Muhammad dies.
- 632 - Abu-Bakr, Muhammad's father-in-law, along with Umar, begin a military move toenforce Islam in Arabia.
- 633 - Battle at Oman
- 633 - Battle at Hadramaut.
- 633 - Battle of Kazima
- 633 - Battle of Walaja
- 633 - Battle of Ulleis
- 633 - Battle of Anbar
- 634 - Battle of Basra,
- 634 - Battle of Damascus
- 634 - Battle of Ajnadin.
- 634 - Death of Hadrat Abu Bakr. Hadrat Umar Farooq becomes the Caliph.
- 634 - Battle of Namaraq
- 634 - Battle of Saqatia.
- 635 - Battle of Bridge.
- 635 - Battle of Buwaib.
- 635 - Conquest of Damascus.
- 635 - Battle of Fahl.
- 636 - Battle of Yermuk.
- 636 - Battle of Qadsiyia.
- 636 - Conquest of Madain.
- 637 - Battle of Jalula.
- 638 - Battle of Yarmouk.
- 638 - The Muslims defeat the Romans and enter Jerusalem.
- 638 - Conquest of Jazirah.
- 639 - Conquest of Khuizistan and movement into Egypt.
- 641 - Battle of Nihawand
- 642 - Battle of Rayy in Persia
- 643 - Conquest of Azarbaijan
- 644 - Conquest of Fars
- 644 - Conquest of Kharan.
- 644 - Umar is murdered. Othman becomes the Caliph.
- 647 - Conquest of the island of Cypress
- 644 - Uman dies and is succeeded by Caliph Uthman.
- 648 - Campaign against the Byzantines.
- 651 - Naval battle against the Byzantines.
- 654 - Islam spreads into North Africa
- 656 - Uthman is murdered. Ali become Caliph.
- 658 - Battle of Nahrawan.
- 659 - Conquest of Egypt
- 661 - Ali is murdered.
- 662 - Egypt falls to Islam rule.
- 666 - Sicily is attacked by Muslims
- 677 - Siege of Constantinople
- 687 - Battle of Kufa
- 691 - Battle of Deir ul Jaliq
- 700 - Sufism takes root as a sect of Islam
- 700 - Military campaigns in North Africa
- 702 - Battle of Deir ul Jamira
- 711 - Muslims invade Gibraltar
- 711 - Conquest of Spain
- 713 - Conquest of Multan
- 716 - Invasion of Constantinople
- 732 - Battle of Tours in France.
- 740 - Battle of the Nobles.
- 741 - Battle of Bagdoura in North Africa
- 744 - Battle of Ain al Jurr.
- 746 - Battle of Rupar Thutha
- 748 - Battle of Rayy.
- 749 - Battle of lsfahan
- 749 - Battle of Nihawand
- 750 - Battle of Zab
- 772 - Battle of Janbi in North Africa
- 777 - Battle of Saragossa in Spain
- Miller, William M., A Christian's Response to Islam, Presbyterian and Reformed Publishing, Phillipsburg, New Jersey, 1976.
- Geisler, Norman, Baker Encyclopedia of Christian Apologetics, Grand Rapids, Michigan, Baker Books, 1999.
- Glasse, Cyril, The Concise Encyclopedia of Islam, Harper & Row, Publishers, Inc. San Francisco, 1989.
- Morey, Robert, The Islamic Invasion, Harvest House Publishers, Eugene Oregon, 1992.