Le 12 septembre doit devenir une “date-culte” dans le mouvement identitaire européen, tout comme le 7 octobre, date de la Bataille de Lépante.
Ces jours-là, pavoisez ! Sortez les bannières de vos régions, mais évitez les tissus tricolores républicains en France ou belgicains en Belgique, où l’on serait mieux inspiré de réhabiliter l’aigle impérial, présent dans de nombreux blasons communaux (Anvers, Malines, Saint-Trond, etc.) ou les Croix de Bourgogne, présentes dans la procession du Gouden Boom à Bruges ou de l’Ommegang à Bruxelles. Notre histoire glorieuse date d’avant 1792. Après cette date funeste, c’est le règne des braillards et des histrions. Oublions-les, eux et leurs symboles médiocres. Notons également qu’il y avait avant Vatican II des papes guerriers qui ravivaient des stratégies romaines et non chrétiennes. Il est vrai que Vatican II voulait expressément mettre un terme au “triomphalisme constantinien”, donc aux racines impériales romaines de l’Europe. C’est une trahison, non pas au message chrétien, éthéré et abstrait, dont nous n’avons cure, mais à l’histoire européenne, réalité concrète, tangible, vivante.
La civilisation européenne, combattante, se sauve du péril ottoman [islamique]
L’union des princes européens a sauvé notre civilisation du danger mortel que constituait l’Empire ottoman en reprenant Vienne, encerclée par les troupes innombrables de Kara Moustapha [Illustration]. Un siècle et demi auparavant, Vienne avait été assiégée une première fois. Le Roi d’Espagne s’était rangé du côté des Autrichiens. De même à l’époque de la Bataille navale de Lépante, l’Espagne et le Saint-Empire avaient fait cause commune contre l’invasion barbare des Ottomans.
Lire (toute) la suite... - Voir aussi: La Bataille du Kahlenberg
Saturday, August 18, 2007
12 septembre 1683 : Bataille et libération de Vienne
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